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Fables Française

Les Fables de La Fontaine

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NOTES

[1]Poli pour luisant, état du poil chez les chiens bien portants.

[2]Restes de repas.

[3]Portant besace.

[4]Ce mot, qui ne se prend plus qu’en mauvaise part, se disoit alors pour désigner un habitant de la campagne.

[5]L’auteur des Maximes, qui avoient été publiées en 1665, et avoient dès leur apparition obtenu beaucoup de succès.

[6]Maître Aliboron, expression usitée autrefois pour désigner un âne, ou un ignorant. Rabelais, liv. III, chap. xx, appelle un avocat maître Aliborum.

[7]Pour un quatrième voleur.

[8]Voyez ci-après, livre IX, fable IX.

[9]Dans Rabelais, Rodilard ou rongeur de lard.

[10]Pour dire marchoit lentement.

[11]Les alchimistes.

[12]Les feux de joie.

[13]Ses chausses.

[14]Armés de bâtons.

[15]Treuve pour trouve étoit avant La Fontaine très-généralement employé. On le rencontre dans le Misanthrope.

[16]A Monsieur de Maucroix.

[17]L’estomac. (Note de La Fontaine.)

[18]En couche.

[19]Étraites pour étroites.

[20]Ancien mot, pour araignée.

[21]Chère joyeuse, bonne chère.

[22]Mitis, en latin, signifie doux.

[23]Françoise-Marguerite de Sévigné, fille de la célèbre madame de Sévigné; elle épousa M. de Grignan.

[24]Nom de chien.

[25]Ces noms sont empruntés à la Batrachomyomachie ou le Combat des Grenouilles et des Rats, poëme attribué à Homère.

[26]Arion, menacé par les matelots, fut sauvé par un dauphin qui l’avoit entendu chanter.

[27]Port d’Athènes.

[28]Croit tromper.

[29]Esclave.

[30]L’accroissement.

[31]Les bêtes de somme.

[32]Beaux sires loups, n’écoutez pas mère tançant son fils qui crie.

[33]Nichée.

[34]A M. le chevalier de Bouillon.

[35]Boquillon ou bosquillon, qui travaille aux bosquets ou bois, bûcheron.

[36]A la moindre secousse.

[37]Les trois Parques.

[38]Tu me serois assuré. Cette expression vient du jeu de cartes appelé hoc.

[39]On disait alors arboriste comme herboriste.

[40]Marchand de moutons, dans Rabelais. Pantagruel, liv. IV, ch. VIII.

[41]Virtus, courage.

[42]Gabrias (Note de La Fontaine.)

[43]Ou balandran, sorte de manteau.

[44]Qui cause des frais.

[45]Qui couche sur la paille.

[46]La Fontaine a fait du féminin le mot ongle, suivant l’usage de certaines provinces, et en lui conservant le genre du latin ungula.—Maline, pour maligne, est une licence poétique.

[47]Ce grand maître était Louis XIV.

[48]Le fond de cet apologue est tiré d’un ancien conte arabe.

[49]Émute, pour émeute, par licence poétique et pour la rime.

[50]L’accident arrivé après la mort de M. de Boufflers, et que Mme de Sévigné a raconté dans une de ses lettres en date du 26 février 1672, a fourni le sujet de cette fable.

[51]La Fontaine a écrit propette et non proprette.

[52]Sujet emprunté à la Devineresse comédie de Visé et Thomas Corneille.

[53]On voit que La Fontaine emploie successivement les mots devineresse, devineuse et devine, quoique le premier seulement soit français.

[54]Raminagrobis et Grippeminaud sont des noms empruntés de Rabelais.

[55]Du temps de La Fontaine, ce mot s’employait encore au féminin dans une acception qui n’admet plus aujourd’hui que le masculin. (Note des Éditeurs.)

[56]La Fontaine a pris le sujet de cette fable dans un fait contemporain.

[57]Charles II, roi d’Angleterre.

[58]Ambassadeur en Angleterre.

[59]Démades.

[60]Lettre d’Hippocrate adressée à Damagète.

[61]Sagette pour flèche, vieux mot, du latin sagitta.

[62]Le saisir dans ses serres: terme de fauconnerie.

[63]La balle: terme du jeu de longue paume.

[64]Hymette étoit une montagne célébrée par les poëtes, située dans l’Attique, et où les Grecs recueilloient d’excellent miel. (Note de La Fontaine.)

[65]Empédocle étoit un philosophe ancien, qui ne pouvant comprendre les merveilles du mont Etna, se jeta dedans par une vanité ridicule, et trouvant l’action belle, de peur d’en perdre le fruit, et que la postérité ne l’ignorât, laissa ses pantoufles au pied du mont. (Note de La Fontaine.)

[66]Sobieski.

[67]Descartes.

[68]Au lieu de respect, pour la rime et par licence poétique.

[69]Au lieu de circonspect, pour la rime et par licence poétique.

[70]La Fontaine a employé ici détroit pour district; ces deux mots sont de formation commune.

[71]Bélisaire étoit un grand capitaine qui, ayant commandé les armées de l’empereur et perdu les bonnes grâces de son maître, tomba dans un tel point de misère, qu’il demandoit l’aumône sur les grands chemins. (Note de La Fontaine.)

[72]L’armée. Vieux mot.

[73]Musicien célèbre.

[74]Élève. Terme de fauconnerie.

[75]Qui porte une longue barbe. Mot emprunté des Italiens.

[76]C’est évidemment pour la rime que La Fontaine a modifié ainsi le mot volatile.

[77]Venelle signifie sentier; et enfiler la venelle, signifie proverbialement s’enfuir.

[78]Terme de vénerie, pour désigner les chiens qui relèvent de défaut les autres chiens.

[79]Genre de chaussures. Expression proverbiale voulant dire qu’il y mourut.

[80]Le mot étrange pris dans le sens d’étranger était déjà vieilli du temps de La Fontaine.

[81]Charles II.

[82]Hortense Mancini, duchesse de Mazarin, née à Rome en 1646, et morte à Chelsey, près de Londres, le 2 juillet 1699.

[83]Mot forgé par l’auteur.

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