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Bonheur de Paul Verlaine

Bonheur

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I. L’incroyable, l’unique horreur de pardonner
L’incroyable, l’unique horreur de pardonner,
Quand l’offense et le tort ont eu cette envergure,
Est un royal effort qui peut faire figure … Continuer la lecture

II. La vie est bien sévère
La vie est bien sévère
À cet homme trop gai :
Plus le vin dans le verre … Continuer la lecture

III. Après la chose faite, après le coup porté
Après la chose faite, après le coup porté
Après le joug très dur librement accepté,
Et le fardeau plus lourd que le ciel et la terre, … Continuer la lecture

IV. De plus, cette ignorance de Vous !
De plus, cette ignorance de Vous !
Avoir des yeux et ne pas vous voir,
Une âme et ne pas vous concevoir. … Continuer la lecture

V. L’adultère, celui du moins codifié
L’adultère, celui du moins codifié
Au mépris de l’Église et de Dieu défié,
Tout d’abord doit sembler la faute irrémissible. … Continuer la lecture

VI. Puis, déjà très anciens
Puis, déjà très anciens,
Des songes de souvenirs,
Si doux nécromanciens … Continuer la lecture

VII. Maintenant, un gouffre du Bonheur !
Maintenant, au gouffre du Bonheur !
Mais avant le glorieux naufrage
Il faut faire à cette mer en rage … Continuer la lecture

VIII. L’homme pauvre du cœur est-il si rare, en somme
L’homme pauvre du cœur est-il si rare, en somme ?
Non. Et je suis cet homme et vous êtes cet homme,
Et tous les hommes sont cet homme ou furent lui, … Continuer la lecture

IX. Bon pauvre, ton vêtement est léger
Bon pauvre, ton vêtement est léger
Comme une brume,
Oui, mais aussi ton cœur, il est léger … Continuer la lecture

X. Le « sort » fantasque qui me gâte à sa manière
Le « sort » fantasque qui me gâte à sa manière —
M’a logé cette fois, peut-être la dernière
Et la dernière c’est la bonne — à l’hôpital ! … Continuer la lecture

XI. Prêtres de Jésus-Christ, la vérité vous garde
Ah ! soyez ce que pense une foule bavarde
Ou ce que le penseur lui-même dit de vous.
Bassement orgueilleux, haineusement jaloux, … Continuer la lecture

XII. Guerrière, militaire et virile en tout point
Guerrière, militaire et virile en tout point,
La sainte Chasteté que Dieu voit la première,
De toutes les vertus marchant dans sa lumière … Continuer la lecture

XIII. Un projet de mon âge mûr
Un projet de mon âge mûr
Me tint six ans l’âme ravie,
C’était, d’après un plan bien sûr. … Continuer la lecture

XIV. Sois de bronze et de marbre et surtout sois de chair
Sois de bronze et de marbre et surtout sois de chair :
Certes, prise l’orgueil nécessaire plus cher,
Pour ton combat avec les contingences vaines ; … Continuer la lecture

XV. Mon ami, ma plus belle amitié, ma meilleure
Mon ami, ma plus belle amitié, ma meilleure,
— Les morts sont morts, douce leur soit l’éternité !
Laisse-moi te le dire en toute vérité, … Continuer la lecture

XVI. Seigneur, vous m’avez laissé vivre
Seigneur, vous m’avez laissé vivre
Pour m’éprouver jusqu’à la fin.
Vous châtiez cette chair ivre, … Continuer la lecture

XVII. Rompons ! Ce que j’ai dit, je ne le reprends pas
Rompons ! Ce que j’ai dit, je ne le reprends pas.
Puisque je le pensai, c’est donc que c’était vrai.
Je le garderai jusqu’au jour où je mourrai, … Continuer la lecture

XVIII. J’ai dit à l’esprit vain, à l’ostentation
J’ai dit à l’esprit vain, à l’ostentation,
L’Ilion de l’orgueil futile, le Sion
De la frivolité sans cœur et sans entrailles, … Continuer la lecture

XIX. La neige à travers la brume
La neige à travers la brume
Tombe et tapisse sans bruit
Le chemin creux qui conduit … Continuer la lecture

XX. Je voudrais, si ma vie était encore à faire
Je voudrais, si ma vie était encore à faire,
Qu’une femme très calme habitât avec moi
Plus jeune de dix ans, qui portât sans émoi … Continuer la lecture

XXI. Ô j’ai froid d’un froid de glace
Ô ! j’ai froid d’un froid de glace
Ô ! je brûle à toute place !
Mes os vont se cariant, … Continuer la lecture

XXII. Un scrupule qui m’a l’air sot comme un péché
Un scrupule qui m’a l’air sot comme un péché
Argumente. 
      Dieu vit au sein d’un cœur caché,… Continuer la lecture

XXIII. Après le départ des cloches
Après le départ des cloches
Au milieu du Gloria, … Continuer la lecture

XXIV. L’ennui de vivre avec le monde et dans les choses
L’ennui de vivre avec les gens et dans les choses
Font souvent ma parole et mon regard moroses. … Continuer la lecture

XXV. Vous m’avez demandé quelques vers sur « Amour »
Vous m’avez demandé quelques vers sur « Amour ».
Ce mien livre, d’émoi cruel et de détresse,
Déjà loin dans mon Œuvre étrange qui se presse … Continuer la lecture

XXVI. Ces vers durent être faits
Ces vers durent être faits,
Cet aveu fut nécessaire,
Témoignant d’un cœur sincère … Continuer la lecture

XXVII. Or tu n’es pas vaincu, sinon par le Seigneur
Oppose au siècle un front de courage et d’honneur,
Bande ton cœur moins faible au fond que tu ne crois,
Ne cherche, en fait d’abri, que l’ombre de la croix. … Continuer la lecture

XXVIII. Les plus belles voix
Les plus belles voix
De la Confrérie
Célèbrent le mois … Continuer la lecture

XXIX. L’autel bas s’orne de hautes mauves
L’autel bas s’orne de hautes mauves,
La chasuble blanche est toute en fleurs,
À travers les pâles vitraux jaunes … Continuer la lecture

XXX. L’amour de la Patrie est le premier amour
L’amour de la Patrie est le premier amour
Et le dernier amour après l’amour de Dieu,
C’est un feu qui s’allume alors que luit le jour … Continuer la lecture

XXXI. Immédiatement après le salut somptueux
Immédiatement après le salut somptueux,
Le luminaire éteint moins les seuls cierges liturgiques,
Les psaumes pour les morts sont dits sur un mode mineur … Continuer la lecture

XXXII. La cathédrale est majestueuse
La cathédrale est majestueuse
Que j’imagine en pleine campagne
Sur quelque affluent de quelque Meuse … Continuer la lecture

XXXIII. Voix de Gabriel
Voix de Gabriel
Chez l’humble Marie,
Cloches de Noël, … Continuer la lecture


Dessin de Verlaine. Une soirée chez Verlaine à l'hôtel meublé de l'impasse Royer-Collard en 1889, paru dans La Plume en 1896.
Une soirée chez Verlaine par Verlaine – 1889, .


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