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Chansons pour elle de Paul Verlaine

Chansons pour elle

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I. Tu n’es pas du tout vertueuse
Tu n’es pas du tout vertueuse,
Je ne suis pas du tout jaloux !
C’est de se la couler heureuse … Continuer la lecture

II. Compagne savoureuse et bonne
Compagne savoureuse et bonne
À qui j’ai confié le soin
Définitif de ma personne, … Continuer la lecture

III. Voulant te fuir
Voulant te fuir (fuir ses amours !
Mais un poète est bête),
J’ai pris, l’un de ces derniers jours, … Continuer la lecture

IV. Or, malgré ta cruauté
Or, malgré ta cruauté
Affectée, et l’air très faux
De sale méchanceté … Continuer la lecture

V. Jusques aux pervers nonchaloirs
Jusques aux pervers nonchaloirs
De ces yeux noirs,
Jusques, depuis ces flemmes blanches … Continuer la lecture

VI. La saison qui s’avance
La saison qui s’avance
Nous baille la défense
D’user des us d’été, … Continuer la lecture

VII. Je suis plus pauvre que jamais
Je suis plus pauvre que jamais
Et que personne ;
Mais j’ai ton cou gras, tes bras frais. … Continuer la lecture

VIII. Que ton âme soit blanche ou noire
Que ton âme soit blanche ou noire,
Que fait ? Ta peau de jeune ivoire
Est rose et blanche et jaune un peu. … Continuer la lecture

IX. Tu m’as frappé, c’est ridicule
Tu m’as frappé, c’est ridicule,
Je l’ai battue et c’est affreux :
Je m’en repens et tu m’en veux. … Continuer la lecture

X. L’horrible nuit d’insomnie !
L’horrible nuit d’insomnie !
— Sans la présence bénie
De ton cher corps près de moi, … Continuer la lecture

XI. Vrai, nous avons trop d’esprit
Vrai, nous avons trop d’esprit.
Chérie !
Je crois que mal nous en prit, … Continuer la lecture

XII. Tu bois, c’est hideux ! presque autant que moi
Tu bois, c’est hideux ! presque autant que moi.
Je bois, c’est honteux, presque plus que toi,
Ce n’est plus ce qu’on appelle une vie… … Continuer la lecture

XIII. Es-tu brune ou blonde ?
Es-tu brune ou blonde ?
Sont-ils noirs ou bleus,
Tes yeux ? … Continuer la lecture

XIV. Je ne t’aime pas en toilette
Je ne t’aime pas en toilette
Et je déteste la voilette
Qui t’obscurcit tes yeux, mes cieux, … Continuer la lecture

XV. Chemise de femme, armure ad hoc
Chemise de femme, armure ad hoc
Pour les chers combats et le gai choc,
Avec, si frais et que blancs et gras, … Continuer la lecture

XVI. L’été ne fut pas adorable
L’été ne fut pas adorable
Après cet hiver infernal,
Et quel printemps défavorable ! … Continuer la lecture

XVII. Je ne suis plus de ces esprits philosophiques
Je ne suis plus de ces esprits philosophiques,
Et ce n’est pas de morale que tu te piques
Deux admirables conditions pour l’amour … Continuer la lecture

XVIII. Si tu le veux bien, divine Ignorante
Si tu le veux bien, divine Ignorante,
Je ferai celui qui ne sait plus rien
Que te caresser d’une main errante. … Continuer la lecture

XIX. Ton rire éclaire mon vieux cœur
Ton rire éclaire mon vieux cœur
Comme une lanterne une cave
Où mûrirait tel cru vainqueur : … Continuer la lecture

XX. Tu crois au marc de café
Tu crois au marc de café,
Aux présages, aux grands jeux :
Moi je ne crois qu’en tes grands yeux. … Continuer la lecture

XXI. Lorsque tu cherches tes puces
Lorsque tu cherches tes puces,
C’est très rigolo.
Que de ruses, que d’astuces ! … Continuer la lecture

XXII. J’ai rêvé de toi cette nuit
J’ai rêvé de toi cette nuit :
Tu te pâmais en mille poses
Et roucoulais des tas de choses… … Continuer la lecture

XXIII. Je n’ai pas de chance en femme
Je n’ai pas de chance en femme,
Et, depuis mon âge d’homme,
Je ne suis tombé guère, en somme. … Continuer la lecture

XXIV. Bien qu’elle soit ta meilleure amie
Bien qu’elle soit ta meilleure amie,
C’est farce ce que nous la trompons
Jusques à l’excès, sans penser mie … Continuer la lecture

XXV. Je fus mystique et je ne le suis plus
Je fus mystique et je ne le suis plus
(La femme m’aura repris tout entier),
Non sans garder des respects absolus … Continuer la lecture


Dessin de Verlaine. Une soirée chez Verlaine à l'hôtel meublé de l'impasse Royer-Collard en 1889, paru dans La Plume en 1896.
Une soirée chez Verlaine par Verlaine – 1889, .


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