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Les Chansons des rues et des bois de Victor Hugo

Les Chansons des rues et des bois

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Les Chansons des rues et des bois

***

Le Cheval
Je l’avais saisi par la bride ;
Je tirais, les poings dans les nœuds,
Ayant dans les sourcils la ride … Continuer la lecture …

Livre premier. — JEUNESSE.

I. FLORÉAL

I. Ordre du jour de Floréal
Victoire, amis ! je dépêche
En hâte et de grand matin
Une strophe toute fraîche … Continuer la lecture …

II. Orphée au bois du Caystre
Orphée, au bois du Caÿstre,
Écoutait, quand l’astre luit.
Le rire obscur et sinistre … Continuer la lecture …

III. ΨΥΧΗ
Psyché dans ma chambre est entrée,
Et j’ai dit à ce papillon :
« — Nomme-moi la chose sacrée. … Continuer la lecture …

IV. Le poëte bat aux champs
Aux champs, compagnons et compagnes !
Fils, j’élève à la dignité
De géorgiques les campagnes … Continuer la lecture …

V. Interruption à une lecture de Platon
Je lisais Platon. — J’ouvris
La porte de ma retraite,
Et j’aperçus Lycoris, … Continuer la lecture …

VI. Quand les guignes furent mangées
Quand les guignes furent mangées,
Elle s’écria tout à coup :
— J’aimerais bien mieux des dragées. … Continuer la lecture …

VII. Genio libri
Ô toi qui dans mon âme vibres,
Ô mon cher esprit familier,
Les espaces sont clairs et libres, … Continuer la lecture …

II. LES COMPLICATIONS DE L’IDÉAL

I. Paulo « minora » canamus
C’est vrai, pour un instant je laisse
Tous nos grands problèmes profonds ;
Je menais des monstres en laisse, … Continuer la lecture …

II. Réalité
La nature est partout la même,
À Gonesse comme au Japon.
Mathieu Dombasle est Triptolème ; … Continuer la lecture …

III. En sortant du collège
Puisque nous avons seize ans,
Vivons, mon vieux camarade,
Et cessons d’être innocents ; … Continuer la lecture …

IV. Paupertas
Être riche n’est pas l’affaire ;
Toute l’affaire est de charmer ;
Du palais le grenier diffère … Continuer la lecture …

V. Ô Hyménée !
Pancrace entre au lit de Lucinde ;
Et l’heureux hymen est bâclé
Quand un maire a mis le coq d’Inde … Continuer la lecture …

VI. Hilaritas
Chantez ; l’ardent refrain flamboie ;
Jurez même, noble ou vilain !
Le chant est un verre de joie … Continuer la lecture …

VII. Meudon
Pourquoi pas montés sur des ânes ?
Pourquoi pas au bois de Meudon ?
Les sévères sont les profanes ; … Continuer la lecture …

VIII. Bas à l’oreille du lecteur
Dans l’amoureux, qu’Éros grise,
L’imbécile est ébauché ;
La ponte d’une bêtise … Continuer la lecture …

IX. Senior est junior
Comme de sa source on dévie !
Qu’un petit-fils ressemble peu !
Tacite devient Soulavie. … Continuer la lecture …

III. POUR JEANNE SEULE

I. Je ne me mets pas en peine
Je ne me mets pas en peine
Du clocher ni du beffroi ;
Je ne sais rien de la reine. … Continuer la lecture …

II. Jeanne chante ; elle se penche
Jeanne chante ; elle se penche
Et s’envole ; elle me plaît ;
Et, comme de branche en branche, … Continuer la lecture …

III. Duel en juin
Jeanne a laissé de son jarret
Tomber un joli ruban rose
Qu’en vers on diviniserait, … Continuer la lecture …

IV. La nature est pleine d’amour
La nature est pleine d’amour,
Jeanne, autour de nos humbles joies ;
Et les fleurs semblent tour à tour … Continuer la lecture …

V. Ami, j’ai quitté vos fêtes
Ami, j’ai quitté vos fêtes.
Mon esprit, à demi-voix,
Hors de tout ce que vous faites, … Continuer la lecture …

VI. À Jeanne
Ces lieux sont purs ; tu les complètes.
Ce bois, loin des sentiers battus,
Semble avoir fait des violettes, … Continuer la lecture …

VII. Les étoiles filantes
À qui donc le grand ciel sombre
Jette-t-il ses astres d’or ?
Pluie éclatante de l’ombre, … Continuer la lecture …

IV. POUR D’AUTRES

I. Mon vers, s’il faut te le redire
Mon vers, s’il faut te le redire.
On veut te griser dans les bois.
Les faunes ont caché ta lyre … Continuer la lecture …

II. Jour de fête aux environs de Paris
Midi chauffe et sèche la mousse ;
Les champs sont pleins de tambourins ;
On voit dans une lueur douce … Continuer la lecture …

III. La bataille commença
La bataille commença.
Comment ? Par un doux sourire.
Elle me dit : — Comme ça, … Continuer la lecture …

IV. Lisbeth
Le jour, d’un bonhomme sage
J’ai l’auguste escarpement ;
Je me conforme à l’usage … Continuer la lecture …

V. Chelles
J’aime Chelle et ses cressonnières ;
Et le doux tic-tac des moulins
Et des cœurs autour des meunières ; … Continuer la lecture …

VI. Dizain de femmes
Une de plus que les muses ;
Elles sont dix. On croirait,
Quand leurs jeunes voix confuses … Continuer la lecture …

VII. Choses écrites à Créteil
Sachez qu’hier, de ma lucarne,
J’ai vu, j’ai couvert de clins d’yeux
Une fille qui dans la Marne … Continuer la lecture …

VIII. Le lendemain
Un vase, flanqué d’un masque,
En faïence de Courtrai,
Vieille floraison fantasque … Continuer la lecture …

IX. Fuis l’éden des anges déchus
Fuis l’éden des anges déchus ;
Ami, prends garde aux belles filles ;
Redoute à Paris les fichus, … Continuer la lecture …

X. L’enfant avril est le frère
L’enfant avril est le frère
De l’enfant amour ; tous deux
Travaillent en sens contraire … Continuer la lecture …

XI. Post-scriptum des rêves
C’était du temps que j’étais jeune ;
Je maigrissais ; rien ne maigrit
Comme cette espèce de jeûne … Continuer la lecture …

V. SILHOUETTES DU TEMPS JADIS

I. Le Chêne du parc détruit
— Ne me plains pas, me dit l’arbre ;
Autrefois, autour de moi,
C’est vrai, tout était de marbre, … Continuer la lecture …

II. Écrit en 1827
Je suis triste quand je vois l’homme.
Le vrai décroît dans les esprits.
L’ombre qui jadis noya Rome … Continuer la lecture …

VI – L’ÉTERNEL PETIT ROMAN

I. Le Doigt de la femme
Dieu prit sa plus molle argile
Et son plus pur kaolin,
Et fit un bijou fragile, … Continuer la lecture …

II. Fuite en Sologne
Ami, viens me rejoindre.
Les bois sont innocents.
Il est bon de voir poindre … Continuer la lecture …

III. Gare !
On a peur, tant elle est belle !
Fût-on don Juan ou Caton.
On la redoute rebelle ; … Continuer la lecture …

IV. À doña Rosita Rosa
Ce petit bonhomme bleu
Qu’un souffle apporte et remporte,
Qui, dès que tu dors un peu, … Continuer la lecture …

V. À Rosita
Tu ne veux pas aimer, méchante ?
Le printemps en est triste, vois ;
Entends-tu ce que l’oiseau chante … Continuer la lecture …

VI. C’est parce qu’elle se taisait
Son silence fut mon vainqueur ;
C’est ce qui m’a fait épris d’elle.
D’abord je n’avais dans le cœur … Continuer la lecture …

VII. À la belle impérieuse
L’amour, panique
De la raison,
Se communique … Continuer la lecture …

VIII. Sommation irrespectueuse
Rire étant si jolie,
C’est mal. Ô trahison
D’inspirer la folie, … Continuer la lecture …

IX. Fêtes de village en plein air
Le bal champêtre est sous la tente.
On prend en vain des airs moqueurs ;
Toute une musique flottante … Continuer la lecture …

X. Confiance
Ami, tu me dis : — « Joie extrême !
Donc, ce matin, comblant ton vœu,
Rougissante, elle a dit : Je t’aime ! … Continuer la lecture …

XI. Le Nid
C’est l’abbé qui fait l’église ;
C’est le roi qui fait la tour ;
Qui fait l’hiver ? C’est la bise. … Continuer la lecture …

XII. À propos de doña Rosa
Au printemps, quand les nuits sont claires,
Quand on voit, vagues tourbillons,
Voler sur les fronts les chimères … Continuer la lecture …

XIII. Les bonnes intentions de Rosa
Ce bonhomme avait les yeux mornes
Et, sur son front chargé d’ennui,
L’incorrection de deux cornes, … Continuer la lecture …

XIV. Rosa fâchée
Une querelle. Pourquoi ?
Mon Dieu ! parce qu’on s’adore.
À peine s’est-on dit Toi … Continuer la lecture …

XV. Dans les ruines d’une abbaye
Seuls tous deux, ravis, chantants !
Comme on s’aime !
Comme on cueille le printemps … Continuer la lecture …

XVI. Les trop heureux
Quand avec celle qu’on enlève,
Joyeux, on s’est enfui si loin,
Si haut, qu’au-dessus de son rêve … Continuer la lecture …

XVII. À un visiteur parisien
Moi, que je sois royaliste !
C’est à peu près comme si
Le ciel devait rester triste … Continuer la lecture …

XVIII. Dénonciation de l’esprit des bois
J’ai vu ton ami, j’ai vu ton amie,
Mérante et Rosa ; vous n’étiez point trois.
Fils, ils ont produit une épidémie … Continuer la lecture …

XIX. Réponse à l’esprit des bois
Nain qui me railles,
Gnome aperçu
Dans les broussailles, … Continuer la lecture …

XX. Lettre
J’ai mal dormi. C’est votre faute.
J’ai rêvé que, sur des sommets,
Nous nous promenions côte à côte, … Continuer la lecture …

XXI. L’Oubli
Autrefois inséparables,
Et maintenant séparés.
Gaie, elle court dans les prés, … Continuer la lecture …

Livre deuxième. — SAGESSE.

I. AMA, CREDE

I. De la femme au ciel
L’âme a des étapes profondes.
On se laisse d’abord charmer.
Puis convaincre. Ce sont deux mondes. … Continuer la lecture …

II. L’Église
J’errais. Que de charmantes choses !
Il avait plu ; j’étais crotté ;
Mais puisque j’ai vu tant de roses, … Continuer la lecture …

III. Saison des semailles. Le soir
C’est le moment crépusculaire.
J’admire, assis sous un portail,
Ce reste de jour dont s’éclaire … Continuer la lecture …

II. OISEAUX ET ENFANTS

I. Oh ! les charmants oiseaux joyeux
Oh ! les charmants oiseaux joyeux !
Comme ils maraudent ! comme ils pillent !
Où va ce tas de petits gueux … Continuer la lecture …

II. Une alcôve au soleil levant
L’humble chambre a l’air de sourire ;
Un bouquet orne un vieux bahut ;
Cet intérieur ferait dire … Continuer la lecture …

III. Comédie dans les feuilles
Au fond du parc qui se délabre,
Vieux, désert, mais encor charmant
Quand la lune, obscur candélabre, … Continuer la lecture …

IV. Les enfants lisent, troupe blonde
Les enfants lisent, troupe blonde ;
Ils épellent, je les entends ;
Et le maître d’école gronde … Continuer la lecture …

III. LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ

I. Depuis six mille ans la guerre
Depuis six mille ans la guerre
Plaît aux peuples querelleurs,
Et Dieu perd son temps à faire … Continuer la lecture …

II. Le vrai dans le vin
Jean Sévère était fort ivre.
Ô barrière ! ô lieu divin
Où Surène nous délivre … Continuer la lecture …

III. Célébration du 14 juillet dans la forêt
Qu’il est joyeux aujourd’hui,
Le chêne aux rameaux sans nombre,
Mystérieux point d’appui … Continuer la lecture …

IV. Souvenirs des vieilles guerres
Pour la France et la république,
En Navarre nous nous battions.
Là parfois la balle est oblique, … Continuer la lecture …

V. L’ascension humaine
« Tandis qu’au loin les nuées,
Qui semblent des paradis,
Dans le bleu sont remuées, … Continuer la lecture …

VI. Le grand siècle
Ce siècle a la forme
D’un monstrueux char.
Sa croissance énorme … Continuer la lecture …

VII. Égalité
Dans un grand jardin en cinq actes,
Conforme aux préceptes du goût,
Où les branches étaient exactes, … Continuer la lecture …

VIII. La méridienne du lion
Le lion dort, seul sous sa voûte.
Il dort de ce puissant sommeil
De la sieste, auquel s’ajoute, … Continuer la lecture …

IV. NIVÔSE

I. Va-t’en, me dit la bise
— Va-t’en, me dit la bise,
C’est mon tour de chanter. —
Et, tremblante, surprise, … Continuer la lecture …

II. Pendant une maladie
On dit que je suis fort malade,
Ami ; j’ai déjà l’œil terni ;
Je sens la sinistre accolade … Continuer la lecture …

III. À un ami
Sur l’effrayante falaise,
Mur par la vague entr’ouvert,
Roc sombre où fleurit à l’aise … Continuer la lecture …

IV. Clôture
Tu sais ? tu connais ma chapelle,
C’est la maison des passereaux.
L’abeille aux offices m’appelle … Continuer la lecture …

Au Cheval
Monstre, à présent reprends ton vol.
Approche, que je te déboucle.
Je te lâche, ôte ton licol, … Continuer la lecture …


La tour des rats de Victor Hugo - 1847
La tour des rats de Victor Hugo – 1847


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