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Littérature française – Livres bilingues – Contes de fées et Livres d’enfants – Poésie Française – Victor Hugo – Poèmes de Victor Hugo
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Les Contemplations – Aujourd’hui – 1843 – 1855 > > >
LIVRE PREMIER – AURORE
“Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants“
Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants,
Passer, gonflant ses voiles,
Un rapide navire enveloppé de vents, … Continuer la lecture …
A ma fille
O mon enfant, tu vois, je me soumets.
Fais comme moi: vis du monde éloignée;
Heureuse? non; triomphante? jamais. … Continuer la lecture …
“Le poëte s’en va dans les champs…”
Le poëte s’en va dans les champs ; il admire,
Il adore ; il écoute en lui-même une lyre ;
Et le voyant venir, les fleurs, toutes les fleurs, … Continuer la lecture …
Mes deux filles
Dans le frais clair-obscur du soir charmant qui tombe,
L’une pareille au cygne et l’autre à la colombe,
Belles, et toutes deux joyeuses, ô douceur ! … Continuer la lecture …
“Le firmament est plein de la vaste clarté”
Le firmament est plein de la vaste clarté ;
Tout est joie, innocence, espoir, bonheur, bonté.
Le beau lac brille au fond du vallon qui le mure ; … Continuer la lecture …
A André Chénier
Oui, mon vers croit pouvoir, sans se mésallier,
Prendre à la prose un peu de son air familier.
André, c’est vrai, je ris quelquefois sur la lyre. …Continuer la lecture …
La vie aux champs
Le soir, à la campagne, on sort, on se promène,
Le pauvre dans son champ, le riche en son domaine ;
Moi, je vais devant moi ; le poëte en tout lieu … Continuer la lecture …
Réponse à un acte d’accusation – Paris, janvier 1834.
Donc, c’est moi qui suis l’ogre et le bouc émissaire.
Dans ce chaos du siècle où votre cœur se serre,
J’ai foulé le bon goût et l’ancien vers françois … Continuer la lecture …
Suite – Jersey, juin 1855.
Car le mot, qu’on le sache, est un être vivant.
La main du songeur vibre et tremble en l’écrivant ;
La plume, qui d’une aile allongeait l’envergure, … Continuer la lecture …
“Le poëme éploré se lamente; le drame“ – Paris, janvier 1834.
Le poëme éploré se lamente ; le drame
Souffre, et par vingt acteurs répand à flots son âme ;
Et la foule accoudée un moment s’attendrit, … Continuer la lecture …
A Madame D. G. de G.
Jadis je vous disais : — Vivez, régnez, Madame !
Le salon vous attend ! le succès vous réclame !
Le bal éblouissant pâlit quand vous partez ! … Continuer la lecture …
Lise – Mai 1843.
J’avais douze ans ; elle en avait bien seize.
Elle était grande, et, moi, j’étais petit.
Pour lui parler le soir plus à mon aise, … Continuer la lecture …
Vere novo
Comme le matin rit sur les roses en pleurs !
Oh ! les charmants petits amoureux qu’ont les fleurs !
Ce n’est dans les jasmins, ce n’est dans les pervenches … Continuer la lecture …
A propos d’Horace
Marchands de grec ! marchands de latin ! cuistres ! dogues!
Philistins ! magisters ! je vous hais, pédagogues !
Car, dans votre aplomb grave, infaillible, hébété, … Continuer la lecture …
A Grandville, en 1836
Voie juin. Le moineau raille
Dans les champs les amoureux;
Le rossignol de muraille … Continuer la lecture …
La coccinelle – Paris, mai 1830.
Elle me dit : Quelque chose
Me tourmente. Et j’aperçus
Son cou de neige, et, dessus, … Continuer la lecture …
Vers 1820
Denise, ton mari, notre vieux pédagogue,
Se promène ; il s’en va troubler la fraîche églogue
Du bel adolescent Avril dans la forêt ; … Continuer la lecture …
A M. Froment Meurice
Nous sommes frères: la fleur
Par deux arts peut être faite.
Le poëte est ciseleur;… Continuer la lecture …
Les oiseaux – Paris, mai 1835.
Je rêvais dans un grand cimetière désert ;
De mon âme et des morts j’écoutais le concert,
Parmi les fleurs de l’herbe et les croix de la tombe. … Continuer la lecture …
Vieille chanson du jeune temps – Paris, juin 1831.
Je ne songeais pas à Rose ;
Rose au bois vint avec moi ;
Nous parlions de quelque chose, … Continuer la lecture …
A un poëte aveugle
Merci, poète! — au seuil de mes lares pieux,
Comme un hôte divin, tu viens et te dévoiles ;
Et l’auréole d’or de tes vers radieux … Continuer la lecture …
“Elle était déchaussée, elle était décoiffée”
Elle était déchaussée, elle était décoiffée,
Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ;
Moi qui passais par là, je crus voir une fée, … Continuer la lecture …
La fête chez Thérèse
La chose fut exquise et fort bien ordonnée.
C’était au mois d’avril, et dans une journée
Si douce, qu’on eût dit qu’amour l’eût faite exprès. … Continuer la lecture …
L’enfance
L’enfant chantait; la mère au lit, exténuée,
Agonisait, beau front dans l’ombre se penchant ;
La mort au-dessus d’elle errait dans la nuée ; … Continuer la lecture …
“Heureux l’homme…”
Heureux l’homme, occupé de l’éternel destin,
Qui, tel qu’un voyageur qui part de grand matin,
Se réveille, l’esprit rempli de rêverie, … Continuer la lecture …
Unité
Par-dessus l’horizon aux collines brunies,
Le soleil, cette fleur des splendeurs infinies,
Se penchait sur la terre à l’heure du couchant ; … Continuer la lecture …
Quelques mots à un autre
On y revient ; il faut y revenir moi-même.
Ce qu’on attaque en moi, c’est mon temps, et je l’aime.
Certe, on me laisserait en paix, passant obscur, … Continuer la lecture …
“Oui, je suis le rêveur…” – Les Roches, août 1835.
Oui, je suis le rêveur ; je suis le camarade
Des petites fleurs d’or du mur qui se dégrade,
Et l’interlocuteur des arbres et du vent. … Continuer la lecture …
Il faut que le poëte
Il faut que le poëte, épris d’ombre et d’azur,
Esprit doux et splendide, au rayonnement pur,
Qui marche devant tous, éclairant ceux qui doutent, … Continuer la lecture …
Halte en marchant
Une brume couvrait l’horizon ; maintenant,
Voici le clair midi qui surgit rayonnant ;
Le brouillard se dissout en perles sur les branches, … Continuer la lecture …
LIVRE DEUXIÈME – L’ÂME EN FLEUR
Premier mai
Tout conjugue le verbe aimer. Voici les roses.
Je ne suis pas en train de parler d’autres choses.
Premier mai ! L’amour gai, triste, brûlant, jaloux, … Continuer la lecture …
“Mes vers fuiraient, doux et frêles“
Mes vers fuiraient, doux et frêles,
Vers votre jardin si beau,
Si mes vers avaient des ailes, … Continuer la lecture …
Le rouet d’Omphale
Il est dans l’atrium, le beau rouet d’ivoire.
La roue agile est blanche, et la quenouille est noire ;
La quenouille est d’ébène incrusté de lapis. … Continuer la lecture …
Chanson (L’Ame en fleur)
Si vous n’avez rien à me dire,
Pourquoi venir auprès de moi ?
Pourquoi me faire ce sourire … Continuer la lecture …
Hier au soir
Hier, le vent du soir, dont le souffle caresse,
Nous apportait l’odeur des fleurs qui s’ouvrent tard.
La nuit tombait ; l’oiseau dormait dans l’ombre épaisse. … Continuer la lecture …
Lettre
Tu vois cela d’ici. — Des ocres et des craies,
Plaines où les sillons croisent leurs mille raies,
Chaumes à fleur de terre et que masque un buisson, … Continuer la lecture …
“Nous allions au verger…“
Nous allions au verger cueillir des bigarreaux.
Avec ses beaux bras blancs en marbre de Paros,
Elle montait dans l’arbre et courbait une branche. … Continuer la lecture …
“Tu peux, comme il te plaît…“
Tu peux, comme il te plaît, me faire jeune ou vieux.
Comme le soleil fait serein ou pluvieux
L’azur dont il est l’âme et que sa clarté dore, … Continuer la lecture …
En écoutant les oiseaux
Oh ! Quand donc aurez-vous fini, petits oiseaux,
De jaser au milieu des branches et des eaux,
Que nous nous expliquions et que je vous querelle ! … Continuer la lecture …
“Mon bras pressait ta taille frêle…”
Mon bras pressait ta taille frêle
Et souple comme le roseau ;
Ton sein palpitait comme l’aile … Continuer la lecture …
“Les femmes sont sur la terre…”
Les femmes sont sur la terre
Pour tout idéaliser ;
L’univers est un mystère … Continuer la lecture …
Églogue
Nous errions, elle et moi, dans les monts de Sicile.
Elle est fière pour tous et pour moi seul docile.
Les cieux et nos pensers rayonnaient à la fois. … Continuer la lecture …
“Viens ! – une flûte invisible“
Viens ! — une flûte invisible
Soupire dans les vergers. —
La chanson la plus paisible … Continuer la lecture …
Billet du matin
Si les liens des cœurs ne sont pas des mensonges,
Oh ! dites, vous devez avoir eu de doux songes,
Je n’ai fait que rêver de vous toute la nuit. … Continuer la lecture …
Paroles dans l’ombre
Elle disait : C’est vrai, j’ai tort de vouloir mieux ;
Les heures sont ainsi très doucement passées ;
Vous êtes là ; mes yeux ne quittent pas vos yeux … Continuer la lecture …
“L’hirondelle au printemps …“
L’hirondelle au printemps cherche les vieilles tours,
Débris où n’est plus l’homme, où la vie est toujours ;
La fauvette en avril cherche, ô ma bien-aimée, … Continuer la lecture …
Sous les arbres
Ils marchaient à côté l’un de l’autre ; des danses
Troublaient le bois joyeux ; ils marchaient, s’arrêtaient,
Parlaient, s’interrompaient, et, pendant les silences, … Continuer la lecture …
“Je sais bien qu’il est d’usage…”
Je sais bien qu’il est d’usage
D’aller en tous lieux criant
Que l’homme est d’autant plus sage … Continuer la lecture …
N’envions rien
Ô femme, pensée aimante
Et cœur souffrant,
Vous trouvez la fleur charmante … Continuer la lecture …
Il fait froid
L’hiver blanchit le dur chemin.
Tes jours aux méchants sont en proie.
La bise mord ta douce main, … Continuer la lecture …
“Il lui disait : Vois-tu…“
Il lui disait : Vois-tu, si tous deux nous pouvions,
L’âme pleine de foi, le cœur plein de rayons,
Ivres de douce extase et de mélancolie, … Continuer la lecture …
“Aimons toujours ! Aimons encore !”
Aimons toujours ! Aimons encore !
Quand l’amour s’en va, l’espoir fuit.
L’amour, c’est le cri de l’aurore, … Continuer la lecture …
Après l’hiver
Tout revit, ma bien aimée !
Le ciel gris perd sa pâleur ;
Quand la terre est embaumée, … Continuer la lecture …
“Que le sort, quel qu’il soit…“
Que le sort, quel qu’il soit, vous trouve toujours grande !
Que demain soit doux comme hier !
Qu’en vous, ô ma beauté, jamais ne se répande … Continuer la lecture …
“Je respire où tu palpites“
Je respire où tu palpites,
Tu sais ; à quoi bon, hélas !
Rester là si tu me quittes, … Continuer la lecture …
Crépuscule
L’étang mystérieux, suaire aux blanches moires,
Frissonne ; au fond du bois la clairière apparaît ;
Les arbres sont profonds et les branches sont noires ; … Continuer la lecture …
La nichée sous le portail
Oui, va prier à l’église,
Va ; mais regarde en passant,
Sous la vieille voûte grise, … Continuer la lecture …
Un soir que je regardais le ciel
Elle me dit, un soir, en souriant :
— Ami, pourquoi contemplez-vous sans cesse
Le jour qui fuit, ou l’ombre qui s’abaisse, … Continuer la lecture …
LIVRE TROISIÈME – LES LUTTES ET LES RÊVES
Écrit sur un exemplaire de la “Divina Commedia”
Un soir, dans le chemin je vis passer un homme
Vêtu d’un grand manteau comme un consul de Rome,
Et qui me semblait noir sur la clarté des cieux. … Continuer la lecture …
Melancholia
Écoutez. Une femme au profil décharné,
Maigre, blême, portant un enfant étonné,
Est là qui se lamente au milieu de la rue. … Continuer la lecture …
Saturne
Il est des jours de brume et de lumière vague,
Où l’homme, que la vie à chaque instant confond,
Étudiant la plante, ou l’étoile, ou la vague, … Continuer la lecture …
Écrit en bas d’un crucifix
Vous qui pleurez, venez à ce Dieu, car il pleure.
Vous qui souffrez, venez à lui, car il guérit. … Continuer la lecture …
Quia pulvis es
Ceux-ci partent, ceux-là demeurent.
Sous le sombre aquilon, dont les mille voix pleurent,
Poussière et genre humain, tout s’envole à la fois. … Continuer la lecture …
La source
Un lion habitait près d’une source ; un aigle
Y venait boire aussi.
Or, deux héros, un jour, deux rois — souvent Dieu règle … Continuer la lecture …
La statue
Quand l’empire romain tomba désespéré,
— Car, ô Rome, l’abîme où Carthage a sombré
Attendait que tu la suivisses ! — … Continuer la lecture …
“Je lisais. Que lisais-je?”
Je lisais. Que lisais-je ? Oh ! le vieux livre austère,
Le poëme éternel ! — La Bible ? — Non, la terre.
Platon, tous les matins, quand revit le ciel bleu, … Continuer la lecture …
“Jeune fille, la grâce emplit …“
Jeune fille, la grâce emplit tes dix-sept ans.
Ton regard dit : Matin, et ton front dit : Printemps.
Il semble que ta main porte un lys invisible. … Continuer la lecture …
Amour
Amour ! Loi, dit Jésus. Mystère, dit Platon.
Sait-on quel fil nous lie au firmament ? Sait-on
Ce que les mains de Dieu dans l’immensité sèment ? … Continuer la lecture …
“Une terre au flanc maigre…“
Une terre au flanc maigre, âpre, avare, inclément,
Où les vivants pensifs travaillent tristement,
Et qui donne à regret à cette race humaine … Continuer la lecture …
Explication
La terre est au soleil ce que l’homme est à l’ange.
L’un est fait de splendeur ; l’autre est pétri de fange.
Toute étoile est soleil ; tout astre est paradis. … Continuer la lecture …
La chouette
Une chouette était sur la porte clouée,
Larve de l’ombre au toit des hommes échouée.
La nature, qui mêle une âme aux rameaux verts, … Continuer la lecture …
A la mère de l’enfant mort
Oh ! vous aurez trop dit au pauvre petit ange
Qu’il est d’autres anges là-haut,
Que rien ne souffre au ciel, que jamais rien n’y change, … Continuer la lecture …
Épitaphe
Il vivait, il jouait, riante créature.
Que te sert d’avoir pris cet enfant, ô nature ?
N’as-tu pas les oiseaux peints de mille couleurs, … Continuer la lecture …
Le maître d’études
Ne le tourmentez pas, il souffre. Il est celui
Sur qui, jusqu’à ce jour, pas un rayon n’a lui ;
Oh ! ne confondez pas l’esclave avec le maître ! … Continuer la lecture …
Chose vue un jour de printemps
Entendant des sanglots, je poussai cette porte.
Les quatre enfants pleuraient et la mère était morte.
Tout dans ce lieu lugubre effrayait le regard. … Continuer la lecture …
Intérieur
La querelle irritée, amère, à l’œil ardent,
Vipère dont la haine empoisonne la dent,
Siffle et trouble le toit d’une pauvre demeure. … Continuer la lecture …
Baraque de la foire
Lion ! J’étais pensif, ô bête prisonnière,
Devant la majesté de ta grave crinière ;
Du plafond de ta cage elle faisait un dais. … Continuer la lecture …
Insomnie
Quand une lueur pâle à l’orient se lève,
Quand la porte du jour, vague et pareille au rêve,
Commence à s’entr’ouvrir et blanchit à l’horizon, … Continuer la lecture …
Écrit sur la plinthe d’un bas-relief antique
À MADEMOISELLE LOUISE B.
La musique est dans tout. Un hymne sort du monde.
Rumeur de la galère aux flancs lavés par l’onde, … Continuer la lecture …
“La clarté du dehors ne distrait pas mon âme“
La clarté du dehors ne distrait pas mon âme.
La plaine chante et rit comme une jeune femme ;
Le nid palpite dans les houx ; … Continuer la lecture …
Le revenant
Mères en deuil, vos cris là-haut sont entendus.
Dieu, qui tient dans sa main tous les oiseaux perdus,
Parfois au même nid rend la même colombe. … Continuer la lecture …
Aux arbres
Arbres de la forêt, vous connaissez mon âme!
Au gré des envieux, la foule loue et blâme ;
Vous me connaissez, vous! – vous m’avez vu souvent, … Continuer la lecture …
“L’enfant, voyant l’aïeule à filer occupée“
L’enfant, voyant l’aïeule à filer occupée,
Veut faire une quenouille à sa grande poupée.
L’aïeule s’assoupit un peu ; c’est le moment. … Continuer la lecture …
Joies du soir
Le soleil, dans les monts où sa clarté s’étale,
Ajuste à son arc d’or sa flèche horizontale ;
Les hauts taillis sont pleins de biches et de faons ; … Continuer la lecture …
“J’aime l’araignée et j’aime l’ortie”
J’aime l’araignée et j’aime l’ortie,
Parce qu’on les hait ;
Et que rien n’exauce et que tout châtie … Continuer la lecture …
Le poëte
Shakspeare songe ; loin du Versaille éclatant,
Des buis taillés, des ifs peignés, où l’on entend
Gémir la tragédie éplorée et prolixe, … Continuer la lecture …
La nature
— La terre est de granit, les ruisseaux sont de marbre,
C’est l’hiver ; nous avons bien froid. Veux-tu, bon arbre,
Être dans mon foyer la bûche de Noël ? … Continuer la lecture …
Magnitudo parvi
Le jour mourait ; j’étais près des mers, sur la grève.
Je tenais par la main ma fille, enfant qui rêve,
Jeune esprit qui se tait. … Continuer la lecture …
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