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Les Orientales de Victor Hugo

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< < < Odes et Ballades 1826
Les Feuilles d’Automne – 1831 > > >


Les Orientales

***

Le Feu du Ciel
La voyez-vous passer, la nuée au flanc noir ?
Tantôt pâle, tantôt rouge et splendide à voir,
Morne comme un été stérile ? … Continuer la lecture …


Canaris 
Lorsqu’un vaisseau vaincu dérive en pleine mer ;
Que ses voiles carrées
Pendent le long des mâts, par les boulets de fer … Continuer la lecture ...

Les têtes du Sérail
Le dôme obscur des nuits, semé d’astres sans nombre,
Se mirait dans la mer resplendissante et sombre ;
La riante Stamboul, le front d’ombres voilé, … Continuer la lecture …

Enthousiasme
En Grèce ! en Grèce ! adieu, vous tous ! il faut partir !
Qu’enfin, après le sang de ce peuple martyr, … Continuer la lecture …

Navarin
Canaris ! Canaris ! pleure ! Cent vingt vaisseaux !
Pleure ! Une flotte entière ! — Où donc, démon des eaux, … Continuer la lecture …

Cri de Guerre du Mufti
En guerre les guerriers ! Mahomet ! Mahomet !
Les chiens mordent les pieds du lion qui dormait, … Continuer la lecture …

La Douleur du Pacha
— Qu’a donc l’ombre d’Allah ? disait l’humble derviche ;
Son aumône est bien pauvre et son trésor bien riche !
Sombre, immobile, avare, il rit d’un rire amer. … Continuer la lecture …

Chanson de Pirates
Nous emmenions en esclavage
Cent chrétiens, pêcheurs de corail ;
Nous recrutions pour le sérail … Continuer la lecture …

La Captive
Si je n’étais captive,
J’aimerais ce pays,
Et cette mer plaintive, … Continuer la lecture …

Clair de Lune
La lune était sereine et jouait sur les flots. —
La fenêtre enfin libre est ouverte à la brise,
La sultane regarde, et la mer qui se brise,… Continuer la lecture …

Le Voile
Qu’avez-vous, qu’avez-vous, mes frères ?
Vous baissez des fronts soucieux.
Comme des lampes funéraires,… Continuer la lecture …

La Sultane Favorite
N’ai-je pas pour toi, belle juive,
Assez dépeuplé mon sérail ?
Souffre qu’enfin le reste vive.… Continuer la lecture …

La Derviche
Un jour Ali passait : les têtes les plus hautes
Se courbaient au niveau des pieds de ses arnautes ; … Continuer la lecture …

Le Château-Fort
À quoi pensent ces flots, qui baisent sans murmure
Les flancs de ce rocher luisant comme une armure ?
Quoi donc ! n’ont-ils pas vu dans leur propre miroir,… Continuer la lecture …

Marche Turque
Ma dague d’un sang noir à mon côté ruisselle,
Et ma hache est pendue à l’arçon de ma selle.… Continuer la lecture …

La Bataille Perdue
« Allah ! qui me rendra ma formidable armée,
Émirs, cavalerie au carnage animée,
Et ma tente, et mon camp, éblouissant à voir, … Continuer la lecture …

Le Ravin
Un ravin de ces monts coupe la noire crête ;
Comme si, voyageant du Caucase au Cédar,
Quelqu’un de ces Titans que nul rempart n’arrête … Continuer la lecture …

L’Enfant
Les turcs ont passé là. Tout est ruine et deuil.
Chio, l’île des vins, n’est plus qu’un sombre écueil, … Continuer la lecture …

Sara la Baigneuse
Sara, belle d’indolence,
Se balance
Dans un hamac, au-dessus … Continuer la lecture …

Attente
Monte, écureuil, monte au grand chêne,
Sur la branche des cieux prochaine,
Qui plie et tremble comme un jonc. … Continuer la lecture …

Lazzara
Comme elle court ! voyez ! — Par les poudreux sentiers,
Par les gazons tout pleins de touffes d’églantiers, … Continuer la lecture …

Vœu
Si j’étais la feuille que roule
L’aile tournoyante du vent,
Qui flotte sur l’eau qui s’écoule, … Continuer la lecture …

La Ville Prise
La flamme par ton ordre, ô Roi, luit et dévore.
De ton peuple en grondant elle étouffe les cris,
Et, rougissant les toits comme une sombre aurore, … Continuer la lecture …

Adieux de l’hôtesse arabe 
Puisque rien ne t’arrête en cet heureux pays,
Ni l’ombre du palmier, ni le jaune maïs,
Ni le repos, ni l’abondance, … Continuer la lecture …

Malédiction
Qu’il erre sans repos, courbé dès sa jeunesse,
En des sables sans borne où le soleil renaisse … Continuer la lecture …

Les Tronçons du Serpent
Je veille, et nuit et jour mon front rêve enflammé,
Je veille, et nuit et jour mon front rêve enflammé,
Depuis qu’Albaydé dans la tombe a fermé… Continuer la lecture …

Nourmanal La Rousse
Entre deux rocs d’un noir d’ébène
Voyez-vous ce sombre hallier
Qui se hérisse dans la plaine … Continuer la lecture …

Les Djinns
Murs, ville,
Et port.
Asile … Continuer la lecture …

Sultan Achmet
À Juana la grenadine,
Qui toujours chante et badine,
Sultan Achmet dit un jour : … Continuer la lecture …

Romance Mauresque
Don Rodrigue est à la chasse.
Sans épée et sans cuirasse,
Un jour d’été, vers midi, … Continuer la lecture …

Grenade
Soit lointaine, soit voisine,
Espagnole ou sarrasine,
Il n’est pas une cité … Continuer la lecture …

Les Bleuets
Tandis que l’étoile inodore
Que l’été mêle aux blonds épis
Émaille de son bleu lapis … Continuer la lecture …

Fantômes
Hélas ! que j’en ai vu mourir de jeunes filles !
C’est le destin. Il faut une proie au trépas.
Il faut que l’herbe tombe au tranchant des faucilles ; … Continuer la lecture …

Mazeppa
Ainsi, quand Mazeppa, qui rugit et qui pleure,
A vu ses bras, ses pieds, ses flancs qu’un sabre effleure, … Continuer la lecture …

Le Danube en Colère
Belgrade et Semlin sont en guerre.
Dans son lit, paisible naguère,
Le vieillard Danube leur père … Continuer la lecture …

Rêverie
Oh ! laissez-moi ! c’est l’heure où l’horizon qui fume
Cache un front inégal sous un cercle de brume,
L’heure où l’astre géant rougit et disparaît. … Continuer la lecture …

Extase
J’étais seul près des flots, par une nuit d’étoiles.
Pas un nuage aux cieux, sur les mers pas de voiles.
Mes yeux plongeaient plus loin que le monde réel. … Continuer la lecture …

Le Poète au Calife
Ô sultan Noureddin, calife aimé de Dieu !
Tu gouvernes, seigneur, l’empire du milieu, … Continuer la lecture …

Bounaberdi
Souvent Bounaberdi, sultan des francs d’Europe,
Que comme un noir manteau le semoun enveloppe,
Monte, géant lui-même, au front d’un mont géant, … Continuer la lecture …

Lui
Toujours lui ! Lui partout ! — Ou brûlante ou glacée,
Son image sans cesse ébranle ma pensée.
Il verse à mon esprit le souffle créateur. … Continuer la lecture …

Novembre
Quand l’automne, abrégeant les jours qu’elle dévore,
Éteint leurs soirs de flamme et glace leur aurore,
Quand novembre de brume inonde le ciel bleu, … Continuer la lecture …



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