Akirill.com

Les Rayons et les Ombres de Victor Hugo

Télécharger PDF

Littérature françaiseLivres bilinguesContes de fées et Livres d’enfantsPoésie FrançaiseVictor HugoPoèmes de Victor Hugo
< < < Les Voix intérieures
Les Châtiments (1853) > > >


Les Rayons et les Ombres

Fonction du poëte
Pourquoi t’exiler, ô poëte,
Dans la foule où nous te voyons ?
Que sont pour ton âme inquiète … Continuer la lecture …

Le sept août 1829
C’était le sept août. Ô sombre destinée !
C’était le premier jour de leur dernière année. … Continuer la lecture …

Au roi Louis-Philippe après l’arrêt de mort prononcé le 12 juillet 1839
Par votre ange envolée ainsi qu’une colombe !
Par ce royal enfant, doux et frêle roseau ! … Continuer la lecture …

Regard jeté dans une mansarde
L’église est vaste et haute. À ses clochers superbes
L’ogive en fleur suspend ses trèfles et ses gerbes ;
Son portail resplendit, de sa rose pourvu ; … Continuer la lecture …

On croyait dans ces temps où le pâtre nocturne
On croyait dans ces temps où le pâtre nocturne,
Loin dans l’air, au-dessus de son front taciturne,
Voyait parfois, témoin par l’ombre recouvert, … Continuer la lecture …

Sur un homme populaire
Ô peuple ! sous ce crâne où rien n’a pénétré,
Sous l’auguste sourcil morose et vénéré
Du tribun et du cénobite, … Continuer la lecture …

Le monde et le siècle
Que faites-vous, Seigneur ? à quoi sert votre ouvrage ?
À quoi bon l’eau du fleuve et l’éclair de l’orage ?
Les prés ? les ruisseaux purs qui lavent le gazon ? … Continuer la lecture …

À M. le duc de ***
Jules, votre château, tour vieille et maison neuve,
Se mire dans la Loire, à l’endroit où le fleuve,
Sous Blois, élargissant son splendide bassin, … Continuer la lecture …

À Mademoiselle Fanny de P.
Ô vous que votre âge défend,
Riez ! tout vous caresse encore.
Jouez ! chantez ! soyez l’enfant ! … Continuer la lecture …

Comme dans les étangs assoupis sous les bois
Comme dans les étangs assoupis sous les bois,
Dans plus d’une âme on voit deux choses à la fois,
Le ciel, qui teint les eaux à peine remuées … Continuer la lecture …

Fiat voluntas
Pauvre femme ! son lait à sa tête est monté.
Et, dans ses froids salons, le monde a répété,
Parmi les vains propos que chaque jour emporte, … Continuer la lecture …

À Laure, duchesse d’A.
Puisqu’ils n’ont pas compris dans leur étroite sphère,
Qu’après tant de splendeur, de puissance et d’orgueil,
Il était grand et beau que la France dût faire … Continuer la lecture …

Puits de l’Inde, tombeaux !
Puits de l’Inde ! tombeaux ! monuments constellés !
Vous dont l’intérieur n’offre aux regards troublés
Qu’un amas tournoyant de marches et de rampes, … Continuer la lecture …

Dans le cimetière de ***
La foule des vivants rit et suit sa folie,
Tantôt pour son plaisir, tantôt pour son tourment ;
Mais par les morts muets, par les morts qu’on oublie, … Continuer la lecture …

Mères, l’enfant qui joue à votre seuil joyeux
Mères, l’enfant qui joue à votre seuil joyeux,
Plus frêle que les fleurs, plus serein que les cieux,
Vous conseille l’amour, la pudeur, la sagesse. … Continuer la lecture …

Matelots ! matelots ! vous déploierez les voiles
Matelots ! matelots ! vous déploierez les voiles ;
Vous voguerez, joyeux parfois, mornes souvent ;
Et vous regarderez aux lueurs des étoiles … Continuer la lecture …

Spectacle rassurant
Tout est lumière, tout est joie,
L’araignée au pied diligent
Attache aux tulipes de soie … Continuer la lecture …

Écrit sur la vitre d’une fenêtre flamande
J’aime le carillon dans tes cités antiques,
Ô vieux pays gardien de tes mœurs domestiques,
Noble Flandre, où le Nord se réchauffe engourdi… Continuer la lecture …

Ce qui se passait aux Feuillantines vers 1813 
Enfants, beaux fronts naïfs penchés autour de moi,
Bouches aux dents d’émail disant toujours : Pourquoi ?
Vous qui, m’interrogeant sur plus d’un grand problème, … Continuer la lecture …

Au statuaire David
David ! comme un grand roi qui partage à des princes Les états paternels provinces par provinces, … Continuer la lecture …

À un poëte
Ami, cache ta vie et répands ton esprit.
Un tertre, où le gazon diversement fleurit ;
Des ravins où l’on voit grimper les chèvres blanches ; … Continuer la lecture …

Guitare
Gastibelza, l’homme à la carabine,
Chantait ainsi :
« Quelqu’un a-t-il connu doña Sabine ? … Continuer la lecture …

Autre guitare 
Comment, disaient-ils,
Avec nos nacelles,
Fuir les alguazils ? … Continuer la lecture …

Quand tu me parles de gloire
Quand tu me parles de gloire,
Je souris amèrement.
Cette voix que tu veux croire, … Continuer la lecture …

En passant dans la place Louis XV un jour de fête publique
— Allons, dit-elle, encor ! pourquoi ce front courbé ?
Songeur, dans votre puits vous voilà retombé !
À quoi bon pour rêver venir dans une fête ? … Continuer la lecture …

Mille chemins, un seul but
Le chasseur songe dans les bois
À des beautés sur l’herbe assises,
Et dans l’ombre il croit voir parfois … Continuer la lecture …

Oh ! quand je dors, viens auprès de ma couche
Oh ! quand je dors, viens auprès de ma couche,
Comme à Pétrarque apparaissait Laura,
Et qu’en passant ton haleine me touche… — … Continuer la lecture …

À une jeune femme
Voyez-vous, un parfum éveille la pensée.
Repliez, belle enfant par l’aube caressée,
Cet éventail ailé, pourpre, or et vermillon, … Continuer la lecture …

À Louis B.
Ô Louis ! je songeais ! — Baigné d’ombre sereine,
Le soir tombait ; des feux scintillaient dans la plaine ;
Les vastes flots berçaient le nid de l’alcyon ; … Continuer la lecture …

À cette terre où l’on ploie
À cette terre, où l’on ploie
Sa tente au déclin du jour,
Ne demande pas la joie. … Continuer la lecture …

Rencontre
Après avoir donné son aumône au plus jeune,
Pensif, il s’arrêta pour les voir. — Un long jeûne
Avait maigri leur joue, avait flétri leur front. … Continuer la lecture …

Quand vous vous assemblez bruyante multitude
Quand vous vous assemblez, bruyante multitude,
Pour aller le traquer jusqu’en sa solitude,
Vous excitant l’un l’autre, acharnés furieux, … Continuer la lecture …

L’ombre
Il lui disait : — Vos chants sont tristes. Qu’avez-vous ?
Ange inquiet, quels pleurs mouillent vos yeux si doux ?
Pourquoi, pauvre âme tendre, inclinée et fidèle, … Continuer la lecture …

Tristesse d’Olympio
Les champs n’étaient point noirs, les cieux n’étaient pas mornes.
Non, le jour rayonnait dans un azur sans bornes
Sur la terre étendu, … Continuer la lecture …

Que la musique date du seizième siècle
Ô vous, mes vieux amis, si jeunes autrefois,
Qui comme moi des jours avez porté le poids,
Qui de plus d’un regret frappez la tombe sourde, … Continuer la lecture …

La statue
Il semblait grelotter, car la bise était dure.
C’était, sous un amas de rameaux sans verdure,
Une pauvre statue, au dos noir, au pied vert, … Continuer la lecture …

J’eus toujours de l’amour pour les choses ailées
J’eus toujours de l’amour pour les choses ailées.
Lorsque j’étais enfant, j’allais sous les feuillées,
J’y prenais dans les nids de tout petits oiseaux. … Continuer la lecture …

Écrit sur le tombeau d’un petit enfant au bord de la mer
Vieux lierre, frais gazon, herbe, roseaux, corolles ;
Église où l’esprit voit le Dieu qu’il rêve ailleurs ;
Mouches qui murmurez d’ineffables paroles … Continuer la lecture …

A. L.
Toute espérance, enfant, est un roseau.
Dieu dans ses mains tient nos jours, ma colombe ;
Il les dévide à son fatal fuseau, … Continuer la lecture …

Cæruleum mare
Quand je rêve sur la falaise,
Ou dans les bois, les soirs d’été,
Sachant que la vie est mauvaise, … Continuer la lecture …

Dieu qui sourit et qui donne
Dieu qui sourit et qui donne
Et qui vient vers qui l’attend,
Pourvu que vous soyez bonne, … Continuer la lecture …

Oceano nox
Oh ! combien de marins, combien de capitaines
Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines,
Dans ce morne horizon se sont évanouis ! … Continuer la lecture …

Nuits de juin
L’été, lorsque le jour a fui, de fleurs couverte
La plaine verse au loin un parfum enivrant ;
Les yeux fermés, l’oreille aux rumeurs entrouverte, … Continuer la lecture …

À Mademoiselle Louise B. — Sagesse
— Ainsi donc rien de grand, rien de saint, rien de pur,
Rien qui soit digne, ô ciel ! de ton regret d’azur !
Rien qui puisse anoblir le vil siècle où nous sommes, … Continuer la lecture …


La tour des rats de Victor Hugo - 1847
La tour des rats de Victor Hugo – 1847


< < < Les Voix intérieures
Les Châtiments (1853) > > >

Littérature françaiseLivres bilinguesContes de fées et Livres d’enfantsPoésie FrançaiseVictor HugoPoèmes de Victor Hugo


Détenteurs de droits d’auteur –  Domaine public

Si vous avez aimé cet article, abonnez-vous, mettez des likes, écrivez des commentaires!
Partager sur les réseaux sociaux

Consultez Nos Derniers Articles

© 2023 Akirill.com – All Rights Reserved

Leave a comment