Odes et Ballades
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Odes et Ballades
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LIVRE PREMIER. — 1818-1822.
Ode I. Le poëte dans les révolutions
« Le vent chasse loin des campagnes
Le gland tombé des rameaux verts ;
Chêne, il le bat sur les montagnes ; … Continuer la lecture …
Ode II. La Vendée
« Qui de nous, en posant une urne cinéraire,
N’a trouvé quelque ami pleurant sur un cercueil ?
Autour du froid tombeau d’une épouse ou d’un frère, … Continuer la lecture …
Ode III. Les vierges de Verdun
Pourquoi m’apportez-vous ma lyre,
Spectres légers ? — que voulez-vous ?
Fantastiques beautés, ce lugubre sourire … Continuer la lecture …
Ode IV. Quiberon
Par ses propres fureurs le Maudit se dévoile ;
Dans le démon vainqueur on voit l’ange proscrit ;
L’anathème éternel, qui poursuit son étoile, … Continuer la lecture …
Ode V. Louis XVII
En ce temps-là, du ciel les portes d’or s’ouvrirent ;
Du Saint des Saints ému les feux se découvrirent ;
Tous les cieux un moment brillèrent dévoilés ; … Continuer la lecture …
Ode VI. Le rétablissement de la statue de Henri IV
Je voyais s’élever, dans le lointain des âges,
Ces monuments, espoir de cent rois glorieux ;
Puis je voyais crouler les fragiles images … Continuer la lecture …
Ode VII. La mort du duc de Berry
Modérons les transports d’une ivresse insensée ;
Le passage est bien court de la joie aux douleurs ;
La mort aime à poser sa main lourde et glacée … Continuer la lecture …
Ode VIII. La naissance du duc de Bordeaux
Savez-vous, voyageur, pourquoi, dissipant l’ombre,
D’innombrables clartés brillent dans la nuit sombre ?
Quelle immense vapeur rougit les cieux couverts ? … Continuer la lecture …
Ode IX. Le baptême du duc de Bordeaux
« Oh ! disaient les peuples du monde,
Les derniers temps sont-ils venus ?
Nos pas, dans une nuit profonde, … Continuer la lecture …
Ode X. Vision
Voici ce qu’ont dit les prophètes,
Aux jours où ces hommes pieux
Voyaient en songe sur leurs têtes … Continuer la lecture …
Ode XI. Buonaparte
Quand la terre engloutit les cités qui la couvrent,
Que le vent sème au loin un poison voyageur,
Quand l’ouragan mugit, quand des monts brûlants s’ouvrent, … Continuer la lecture …
LIVRE DEUXIÈME. — 1822-1823.
Ode I. À mes odes
Mes odes, c’est l’instant de déployer vos ailes.
Cherchez d’un même essor les voûtes immortelles ;
Le moment est propice… Allons ! … Continuer la lecture …
Ode II. L’histoire
Le sort des nations, comme une mer profonde,
À ses écueils cachés et ses gouffres mouvants.
Aveugle qui ne voit, dans les destins du monde, … Continuer la lecture …
Ode III. La bande noire
« Ô murs ! ô créneaux ! ô tourelles !
Remparts ! fossés aux ponts mouvants !
Lourds faisceaux de colonnes frêles ! … Continuer la lecture …
Ode IV. À mon père
Quoi ! toujours une lyre et jamais une épée !
Toujours d’un voile obscur ma vie enveloppée !
Point d’arène guerrière à mes pas éperdus ! — … Continuer la lecture …
Ode V. Le repas libre
Lorsqu’à l’antique Olympe immolant l’Évangile,
Le préteur, appuyant d’un tribunal fragile
Ses temples odieux, … Continuer la lecture …
Ode VI. La liberté
Quand l’impie a porté l’outrage au sanctuaire,
Tout fuit le temple en deuil, de splendeur dépouillé ;
Mais le prêtre fidèle, à genoux sur la pierre, … Continuer la lecture …
Ode VII. La guerre d’Espagne
Oh ! que la Royauté, puissante et vénérable,
Fille, aux cheveux blanchis, des âges révolus,
Perçant de ses clartés leur nuit impénétrable, … Continuer la lecture …
Ode VIII. À l’arc de triomphe de l’Étoile
La France a des palais, des tombeaux, des portiques,
De vieux châteaux tout pleins de bannières antiques,
Héroïques joyaux conquis dans les dangers ; … Continuer la lecture …
Ode IX. La Mort de Mlle de Sombreuil
Lyre ! encore un hommage à la vertu qui t’aime !
Assez tu dérobas des hymnes d’anathème
Au funèbre Isaïe, au triste Ézéchiel ! … Continuer la lecture …
Ode X. Le dernier chant
— Oh ! qu’il est saint et pur le transport du poëte,
Quand il voit en espoir, bravant la mort muette,
Du voyage des temps sa gloire revenir ! … Continuer la lecture …
LIVRE TROISIÈME. — 1824-1828.
Ode I. À M. Alphonse de L.
Pourtant je m’étais dit : « Abritons mon navire.
Ne livrons plus ma voile au vent qui la déchire.
Cachons ce luth. Mes chants peut-être auraient vécu ! … Continuer la lecture …
Ode II. À M. de Chateaubriand
Il est, Chateaubriand, de glorieux navires
Qui veulent l’ouragan plutôt que les zéphires.
Il est des astres, rois des cieux étincelants, … Continuer la lecture …
Ode III. Les funérailles de Louis XVIII
La foule au seuil d’un temple en priant est venue ;
Mères, enfants, vieillards, gémissent réunis ;
Et l’airain qu’on balance ébranle dans la nue … Continuer la lecture …
Ode IV. Le sacre de Charles X
L’orgueil depuis trente ans est l’erreur de la terre.
C’est lui qui sous les droits étouffa le devoir ;
C’est lui qui dépouilla de son divin mystère … Continuer la lecture …
Ode V. Au colonel Gustaffson
Ce siècle, jeune encore, est déjà pour l’histoire
Presque une éternité de malheurs et de gloire.
Tous ceux qu’il a vus naître ont vieilli dans vingt ans. … Continuer la lecture …
Ode VI. Les deux îles
Il est deux îles dont un monde
Sépare les deux Océans,
Et qui de loin dominent l’onde, … Continuer la lecture …
Ode VII. À la colonne de la place Vendôme
Ô monument vengeur ! trophée indélébile !
Bronze qui, tournoyant sur ta base immobile,
Sembles porter au ciel ta gloire et ton néant ; … Continuer la lecture …
Ode VIII. Fin
Ainsi d’un peuple entier je feuilletais l’histoire !
Livre fatal de deuil, de grandeur, de victoire.
Et je sentais frémir mon luth contemporain, … Continuer la lecture …
LIVRE QUATRIÈME. — 1819-1827.
Ode I. Le poëte
Qu’il passe en paix, au sein d’un monde qui l’ignore,
L’auguste infortuné que son âme dévore !
Respectez ses nobles malheurs ; … Continuer la lecture …
Ode II. La lyre et la harpe
Dors, ô fils d’Apollon ! ses lauriers te couronnent,
Dors en paix ! Les neuf Sœurs t’adorent comme un roi ;
De leurs chœurs nébuleux les Songes t’environnent ; … Continuer la lecture …
Ode III. Moïse sur le Nil
« Mes sœurs, l’onde est plus fraîche aux premiers feux du jour.
Venez : le moissonneur repose en son séjour ;
La rive est solitaire encore ; … Continuer la lecture …
Ode IV. Le dévouement
Je rends grâce au Seigneur : il m’a donné la vie !
La vie est chère à l’homme, entre les dons du ciel ;
Nous bénissons toujours le Dieu qui nous convie … Continuer la lecture …
Ode V. À l’Académie des feux floraux
Vous dont le poétique empire
S’étend des bords du Rhône aux rives de l’Adour,
Vous dont l’art tout-puissant n’est qu’un joyeux délire, … Continuer la lecture …
Ode VI. Le génie
Malheur à l’enfant de la terre,
Qui, dans ce monde injuste et vain,
Porte en son âme solitaire … Continuer la lecture …
Ode VII. La Fille d’O-Taïti
« Oh ! dis-moi, tu veux fuir ? et la voile inconstante
Va bientôt de ces bords t’enlever à mes yeux ?
Cette nuit j’entendais, trompant ma douce attente, … Continuer la lecture …
Ode VIII. L’homme heureux
« Je vous abhorre, ô dieux ! Hélas ! Si jeune encore,
Je puis déjà ce que je veux !
Accablé de vos dons, ô dieux, je vous abhorre. … Continuer la lecture …
Ode IX. L’âme
Fils du ciel, je fuirai les honneurs de la terre ;
Dans mon abaissement je mettrai mon orgueil ;
Je suis le roi banni, superbe et solitaire, … Continuer la lecture …
Ode X. Le chant de l’arène
L’athlète, vainqueur dans l’arène,
Est en honneur dans la cité ;
Son nom, sans que le temps l’entraîne, … Continuer la lecture …
Ode XI. Le chant du cirque
César, empereur magnanime,
Le monde, à te plaire unanime,
À tes fêtes doit concourir ! … Continuer la lecture …
Ode XII. Le chant du tournoi
Largesse, ô chevaliers ! largesse aux suivants d’armes !
Venez tous ! soit qu’au sein des jeux ou des alarmes,
Votre écu de Milan porte le vert dragon, … Continuer la lecture …
Ode XIII. L’Antéchrist
Il viendra, — quand viendront les dernières ténèbres ;
Que la source des jours tarira ses torrents ;
Qu’on verra les soleils, au front des nuits funèbres, … Continuer la lecture …
Ode XIV. Épitaphe
Jeune ou vieux, imprudent ou sage,
Toi qui, de cieux en cieux errant comme un nuage,
Suis l’instinct d’un plaisir ou l’appel d’un besoin, … Continuer la lecture …
Ode XV. Un chant de fête de Néron
Amis ! l’ennui nous tue, et le sage l’évite !
Venez tous admirer la fête où vous invite
Néron, César, consul pour la troisième fois ; … Continuer la lecture …
Ode XVI. La demoiselle
Quand la demoiselle dorée
S’envole au départ des hivers,
Souvent sa robe diaprée, … Continuer la lecture …
Ode XVII. À mon ami S. B.
L’aigle, c’est le génie ! oiseau de la tempête,
Qui des monts les plus hauts cherche le plus haut faîte ;
Dont le cri fier, du jour chante l’ardent réveil ; … Continuer la lecture …
Ode XVIII. Jéhovah
Gloire à Dieu seul ! son nom rayonne en ses ouvrages !
Il porte dans sa main l’univers réuni ;
Il mit l’éternité par de la tous les âges, … Continuer la lecture …
LIVRE CINQUIÈME. — 1819-1828.
Ode I. Premier soupir
Sois heureuse, ô ma douce amie,
Salue en paix la vie et jouis des beaux jours ;
Sur le fleuve du temps mollement endormie, … Continuer la lecture …
Ode II. Regret
Oui, le bonheur bien vite a passé dans ma vie !
On le suit ; dans ses bras on se livre au sommeil ;
Puis, comme cette vierge aux champs crétois ravie, … Continuer la lecture …
Ode III. Au vallon de Cherizy
Le voyageur s’assied sous votre ombre immobile,
Beau vallon ; triste et seul, il contemple en rêvant
L’oiseau qui fuit l’oiseau, l’eau que souille un reptile, … Continuer la lecture …
Ode IV. À toi
Lyre longtemps oisive, éveillez-vous encore.
Il se lève, et nos chants le salueront toujours,
Ce jour que son doux nom décore, … Continuer la lecture …
Ode V. La chauve-souris
Oui, je te reconnais, je t’ai vu dans mes songes,
Triste oiseau ! mais sur moi vainement tu prolonges
Les cercles inégaux de ton vol ténébreux ; … Continuer la lecture …
Ode VI. Le nuage
Ce beau nuage, ô vierge, aux hommes est pareil.
Bientôt tu le verras, grondant sur notre tête,
Aux champs de la lumière amasser la tempête, … Continuer la lecture …
Ode VII. Le cauchemar
Sur mon sein haletant, sur ma tête inclinée,
Écoute, cette nuit il est venu s’asseoir ;
Posant sa main de plomb sur mon âme enchaînée, … Continuer la lecture …
Ode VIII. Le matin
Le voile du matin sur les monts se déploie.
Vois, un rayon naissant blanchit la vieille tour ;
Et déjà dans les cieux s’unit avec amour, … Continuer la lecture …
Ode IX. Mon enfance
J’ai des rêves de guerre en mon âme inquiète ;
J’aurais été soldat, si je n’étais poëte.
Ne vous étonnez point que j’aime les guerriers ! … Continuer la lecture …
Ode X. À G… Y.
Il est pour tout mortel, soit que, loin de l’envie,
Un astre aux rayons purs illumine sa vie ;
Soit qu’il suive à pas lents un cercle de douleurs, … Continuer la lecture …
Ode XI. Paysage
Lorsque j’étais enfant : « Viens, me disait la Muse,
Viens voir le beau génie assis sur mon autel !
Il n’est dans mes trésors rien que je te refuse, … Continuer la lecture …
Ode XII. Encore à toi
À toi ! toujours à toi ! Que chanterait ma lyre ?
À toi l’hymne d’amour ! à toi l’hymne d’hymen !
Quel autre nom pourrait éveiller mon délire ? … Continuer la lecture …
Ode XIII. Son nom
Le parfum d’un lys pur, l’éclat d’une auréole,
La dernière rumeur du jour,
La plainte d’un ami qui s’afflige et console, … Continuer la lecture …
Ode XIV. Actions de grâces
Vous avez dans le port poussé ma voile errante ;
Ma tige a refleuri de sève et de verdeur ;
Seigneur, je vous bénis ! de ma lampe mourante … Continuer la lecture …
Ode XV. À mes amis
Sans monter au char de victoire,
Meurt le poëte créateur :
Son siècle est trop près de sa gloire … Continuer la lecture …
Ode XVI. À l’ombre d’un enfant
Oh ! parmi les soleils, les sphères, les étoiles,
Les portiques d’azur, les palais de saphir,
Parmi les saints rayons, parmi les sacrés voiles … Continuer la lecture …
Ode XVII. À une jeune fille
Vous qui ne savez pas combien l’enfance est belle,
Enfant ! n’enviez point notre âge de douleurs,
Où le cœur tour à tour est esclave et rebelle, … Continuer la lecture …
Ode XVIII. Aux ruines de Montfort-L’Amaury
Je vous aime, ô débris ! et surtout quand l’automne
Prolonge en vos échos sa plainte monotone.
Sous vos abris croulants je voudrais habiter, … Continuer la lecture …
Ode XIX. Le voyage
Le cheval fait sonner son harnois qu’il secoue,
Et l’éclair du pavé va jaillir sous la roue ;
Il faut partir, adieu ! De ton cœur inquiet … Continuer la lecture …
Ode XX. Promenade
Ceins le voile de gaze, aux pudiques couleurs,
Où ta féconde aiguille a semé tant de fleurs !
Viens respirer sous les platanes ; … Continuer la lecture …
Ode XXI. À Ramon, duc de Benav
Hélas ! j’ai compris ton sourire,
Semblable au ris du condamné
Quand le mot qui doit le proscrire … Continuer la lecture …
Ode XXII. Le portrait d’une enfant
Oui, ce front, ce sourire et cette fraîche joue,
C’est bien l’enfant qui pleure et joue,
Et qu’un esprit du ciel défend ! … Continuer la lecture …
Ode XXIII. À Mme la comtesse A. H.
Oh ! quel que soit le rêve, ou paisible, ou joyeux,
Qui dans l’ombre à cette heure illumine tes yeux,
C’est le bonheur qu’il te signale ; … Continuer la lecture …
Ode XXIV. Pluie d’été
Que la soirée est fraîche et douce !
Oh ! viens ! il a plu ce matin ;
Les humides tapis de mousse … Continuer la lecture …
Ode XXV. Rêves
Amis, loin de la ville,
Loin des palais de roi,
Loin de la cour servile, … Continuer la lecture …
BALLADES.
1823-1828
Ballade I. Une fée
Que ce soit Urgèle ou Morgane,
J’aime, en un rêve sans effroi,
Qu’une fée, au corps diaphane, … Continuer la lecture …
Ballade II. Le sylphe
« Toi qu’en ces murs, pareille aux rêveuses sylphides,
Ce vitrage éclairé montre à mes yeux avides,
Jeune fille, ouvre-moi ! Voici la nuit, j’ai peur, … Continuer la lecture …
Ballade III. La grand’mère
« Dors-tu ?… réveille-toi, mère de notre mère !
D’ordinaire en dormant ta bouche remuait ;
Car ton sommeil souvent ressemble à ta prière. … Continuer la lecture …
Ballade IV. À Trilby, le lutin d’Argail
C’est toi, lutin ! — Qui t’amène ?
Sur ce rayon du couchant
Es-tu venu ? Ton haleine … Continuer la lecture …
Ballade V. Le géant
Ô guerriers ! je suis né dans le pays des Gaules.
Mes aïeux franchissaient le Rhin comme un ruisseau,
Ma mère me baigna dans la neige des pôles … Continuer la lecture …
Ballade VI. La fiancée du timbalier
« Monseigneur le duc de Bretagne
A, pour les combats meurtriers,
Convoqué de Nante à Mortagne, … Continuer la lecture …
Ballade VII. La mêlée
Pâtre, change de route. — Au pied de ces collines
Vois onduler deux rangs d’épaisses javelines ;
Vois ces deux bataillons l’un vers l’autre marchant ; … Continuer la lecture …
Ballade VIII. Les deux archers
C’était l’instant funèbre où la nuit est si sombre,
Qu’on tremble à chaque pas de réveiller dans l’ombre
Un démon, ivre encor du banquet des sabbats ; … Continuer la lecture …
Ballade IX. Écoute-moi, Madeleine
Écoute-moi, Madeleine !
L’hiver a quitté la plaine
Qu’hier il glaçait encor. … Continuer la lecture …
Ballade X. À un passant
Voyageur, qui, la nuit, sur le pavé sonore
De ton chien inquiet passes accompagné,
Après le jour brûlant, pourquoi marcher encore : … Continuer la lecture …
Ballade XI. La chasse du Burgrave
« Daigne protéger notre chasse,
Châsse
De monseigneur saint-Godefroi, … Continuer la lecture …
Ballade XII. Le pas d’armes du roi Jean
Çà, qu’on selle,
Écuyer,
Mon fidèle … Continuer la lecture …
Ballade XIII. La légende de la nonne
Venez, vous dont l’œil étincelle,
Pour entendre une histoire encor,
Approchez : je vous dirai celle … Continuer la lecture …
Ballade XIV. La ronde du sabbat
Voyez devant les murs de ce noir monastère
La lune se voiler, comme pour un mystère !
L’esprit de minuit passe, et, répandant l’effroi, … Continuer la lecture …
Ballade XV. La fée et la péri
Enfants ! si vous mouriez, gardez bien qu’un esprit
De la route des cieux ne détourne votre âme !
Voici ce qu’autrefois un vieux sage m’apprit : — … Continuer la lecture …
APPENDICE : ESSAIS ET POÉSIES DIVERSES.
Côtes de Provence
Que j’aime à contempler cette mer imposante !
Quand Phébus dans les cieux élève son essor,
Que j’aime à voir briller cette onde éblouissante. … Continuer la lecture …
Tityre. — Mélibée
Couché sous cet ormeau, tu redis, cher Tityre,
Les airs mélodieux que ta flûte soupire ;
Et nous, d’un sort cruel jouets trop malheureux ! … Continuer la lecture …
L’antre des cyclopes
Non loin des bords d’Enna, près du séjour des vents,
Liparis lève un front ceint de rochers fumants ;
L’Etna tonne en ses flancs : sous ses voûtes tremblantes, … Continuer la lecture …
Cacus
Du vaste sein de l’antre un des taureaux gémit.
Le fiel de la fureur bouillonne au cœur d’Alcide ;
Terrible, il court, il prend sa massue homicide. … Continuer la lecture …
César passe le Rubicon
Déjà, des monts Alpins, qu’il avait su franchir,
César voyait au loin les vieux sommets blanchir ;
Des bords du Rubicon menaçant l’Italie, … Continuer la lecture …
À Lydie
Au nom des Dieux dont tu te ris,
Lydie, en ta folle tendresse,
Veux-tu donc perdre Sybaris ? … Continuer la lecture …
Le vieillard du Galèse
Si mon vaisseau, déjà prêt à loucher les bords,
Vers le but désiré ne tournait sans efforts,
Poète des jardins, je chanterais peut-être … Continuer la lecture …
Achéménide
Le jour meurt : l’aquilon s’endort au sein des nues,
Nous abordons d’Enna les rives inconnues ;
Un grand port loin des vents nous offrait ses abris, … Continuer la lecture …
L’avarice et l’envie
L’Avarice et l’Envie, à la marche incertaine,
Un jour s’en allaient par la plaine
Chez un méchant ou chez un fou, … Continuer la lecture …
Les derniers bardes
Cyprès, arbres des morts, qui courbe ainsi vos têtes ?
Sont-ce les Esprits des tempêtes ?
Sont-ce les noirs vautours, cachés dans vos rameaux ? … Continuer la lecture …
La canadienne
COMÉDIE EN UN ACTE ET EN VERS
De bonne foi, Monsieur, vous donnez là-dedans ?
Moi qui n’ai pour esprit que fort peu de bon sens ; … Continuer la lecture …
Discours sur les avantages de l’enseignement mutuel
Je ris quand chaque soir de l’école voisine
Sort et s’échappe en foule une troupe enfantine,
Quand j’entends sur le seuil le sévère Mentor … Continuer la lecture …
Le télégraphe
Tandis qu’en mon grenier, rongeant ma plume oisive,
Je poursuis en pestant la rime fugitive,
Que vingt pamphlets nouveaux, provoquant mon courroux, … Continuer la lecture …
L’enrôleur politique
Non, tous vos beaux discours ne m’ont point converti.
Et pourquoi voulez-vous que j’embrasse un parti ?
N’est-ce donc point assez que d’insolents libraires. … Continuer la lecture …
Le jeune banni
Le bruit du vent dans le feuillage
Trouble la paix du bois désert.
Le flot expire sur la plage ; … Continuer la lecture …
Les deux âges
LE VIEILLARD.
Ô mon fils, où cours-tu ? … Continuer la lecture …

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