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Toute la lyre de Victor Hugo

Toute la lyre

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< < < La Fin de Satan (posthume, 1886) 
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Toute la lyre

***

 Introduction

 Introduction (Toute la lyre)
 Aie une muse belluaire,
Sinon tu seras dévoré.
Le ciel t’offre un double suaire,… Continuer la lecture

Les Sept Cordes

I. Toute la lyre
Les nuages volaient dans la lueur hagarde,
Noir troupeau que le vent lugubre a sous sa garde;
Et dans la profondeur blême au-dessous de moi, … Continuer la lecture

II. Les évangélistes
Sur des livres où rien n’était écrit-encore,
Quatre hommes méditaient quand mourut l’homme-Dieu;
Tournés au nord, au sud, au couchant, à l’aurore, … Continuer la lecture

III. Comme leurs yeux troublés
Comme leurs yeux troublés de sentiments contraires
Se baissaient devant lui,
Il dit: Allez en paix! allez en paix, mes frères, … Continuer la lecture

IV. Bourgeois parlant de Jésus-Christ
– Sa morale a du bon. -Il est mort à trente ans.
– Il changeait en vin l’eau. -Ça s’est dit dans son temps.
– Il était de Judée. -Il avait douze apôtres. … Continuer la lecture

V. Du songe Universel
Du songe universel notre pensée est faite;
Et le dragon était consulté du prophète, … Continuer la lecture

VI. Inscription
Un sculpteur, qui vivait voilà bien trois mille ans,
Fit pour le noir Pluton, qu’en leurs cachots brûlants … Continuer la lecture

VII. Quand Auguste mourut
 Quand Auguste mourut, Rome, donnant l’exemple,
Sur le mont Palatin lui fit bâtir un temple;… Continuer la lecture

VIII. Quand le vieux monde dut périr
Quand le vieux monde dut périr, sombre damné,
Quand l’empire romain d’horreur fut couronné,
Chaque vice vint faire au monstre une caresse.; … Continuer la lecture

IX. Ère des Césars
Un philosophe grec, persan ou byzantin,
Débarqua sur les bords du Tibre un beau matin.
Maint bourgeois tout de suite étourdit le pauvre homme … Continuer la lecture

X. Le Mausolée est beau
Le Mausolée est beau, vaste, admirable à voir;
Sa première muraille est toute en granit noir,
La deuxième en albâtre, et la troisième enceinte … Continuer la lecture

XI. Invocation du Mage Contre les Deux Rois
la plaine verte où court la sauterelle,
Où rit l’aube, où se chauffe au soleil le lézard,
Va tout à l’heure voir passer l’affreux hasard … Continuer la lecture

XII. Fuyez au mont inabordable!
Fuyez au mont inabordable!
Fuyez dans le creux du vallon!
Une nation formidable … Continuer la lecture

XIII. Le calife a puni les gens de la montagne
Le calife a puni les gens de la montagne.
Ses soldats sont venus! Allah les accompagne,
Car ils n’ont rien laissé de vivant derrière eux. … Continuer la lecture

XIV. Tu volais donc mes bœufs
– Tu volais donc mes boeufs.
-C’en est fait de ma peau.
– Tu n’as pas de turban? … Continuer la lecture

XV. Le passage des êtres sombres
Le Campéador, l’homme honnête et sans ennui,
Cria dans la forêt profonde devant lui,
— Ici, lion ! il faut que je te parle. Approche. — … Continuer la lecture

XVI. Le Campéador
Le Campéador, l’homme honnête et sans ennui,
Cria dans la forêt profonde devant lui,
— Ici, lion ! il faut que je te parle. Approche. — … Continuer la lecture

XVII. Muse!
paix aux bergers, et paix aux laboureurs!
La justice, étrangère aux humaines erreurs, … Continuer la lecture

XVIII. Éole allait criant:
Éole allait criant: Bacchus m’a pris mon outre.
Mithra-lui dit avec son sourire divin:. … Continuer la lecture

XIX. Le vieux de Brisach
Je me dis en moi-même et depuis uh moment
Voilà bien du vacarme et bien de l’aboiement.
J’ai puni les barons voleurs, les noirs burgraves … Continuer la lecture

XX. La bête regarda l’homme
La bête regarda l’homme venir vers elle.
Ses quatre pieds, sa croupe âpre et surnaturelle,
Et son ventre hideux couvraient plus d’un arpent; … Continuer la lecture

XXI Batailles!
Batailles! noirs duels de la force et du droit!
Guerres,-par le hasard en courant décidées,
N’êtes-vous pas souvent funestes aux idées? … Continuer la lecture

XXII. Hugo Dundas
Devant les douze lords de la chambre étoilée,
Hugo Dundas fut grand.
Du fond d’une tribune une femme voilée … Continuer la lecture

XXIII. Écrit sur le mur de Versailles à coté du cordon de sonnette de Louis XIV
L’objet est illustre
Dans ce temps caduc.
Le duc sonne un rustre, … Continuer la lecture

XXIV. La peau du tigre
Quand la marquise était avec le roi fâchée,
Avant l’invention d’Esther par Mardochée,
Afin que chez Vasti Sa Majesté rentrât, … Continuer la lecture

XXV Oui, duc, nous sommes beaux
Oui, duc, nous sommes beaux, et nous avons l’amour
Dans les yeux, et l’esprit sur le front! Un beau jour,
Car il faut bien que tout, même le mal, finisse, … Continuer la lecture

XXVI Les révolutions
 Les révolutions, ces grandes affranchies,
Sont farouches, étant filles des monarchies. … Continuer la lecture

XXVII Quinze cents ans
Quinze cents ans avaient fait sur l’homme la nuit;
Le vieux monde était là, de ténèbres construit,
Babel aux spirales sans nombre; … Continuer la lecture

XXVIII. Talaveyra récit de mon père
C’est à Talaveyra de la Reine, en Espagne.
Les anglais, contre qui nous étions en campagne,
Tenaient, en s’appuyant sur un vieux château-fort, … Continuer la lecture

XXIX. Écrit sur un livre du jeune Michel Ney
Enfants! fils des héros disparus! fils des hommes
Qui firent mon. pays plus grand que les deux Romes,
Et qui s’en sont allés, dans l’abîme engloutis! … Continuer la lecture

XXX À un soldat devenu valet
Jadis, ô vieux soldat, tu n’étais pas un homme.
La colonne trajane, antique orgueil de Rome,
Sur son marbre où revit en foule un peuple roi, … Continuer la lecture

XXXI Qu’était-ce que l’enfant?
Qu’était-ce que l’enfant? qu’était-ce que la mère?
Je l’ignorais. C’était la saisôn éphémère
Qui nous enchante; et n’a qu’un défaut, durer peu, … Continuer la lecture

XXXII Au bord des flots
Au bord des flots, au sein des sombres Babylones,
Reste à jamais debout sur les hautes colonnes!
Veille sur nos vaisseaux et veille sur nos tours! … Continuer la lecture

XXXIII Les deux cotés de l’horizon
Comme lorsqu’une armée inonde des campagnes,
Une. immense rumeur se disperse dans l’air.
Il se fait un grand bruit du côté des montagnes; … Continuer la lecture

XXXIV Elle prend un miroir
Elle prend un miroir, s’y regarde, le jette avec horreur, souffle
son flambeau, et tombe à genoux auprès de son lit.
Oh! je suis monstrueuse et les autres sont belles! … Continuer la lecture

XXXV. Balma
S’était-il dit: « L’hiver, les gouffres, la tempête,
« Gardent le roi des monts sous son dais de brouillards;
« Nul homme encor n’a pu fouler du pied sa tête, … Continuer la lecture

XXXVI Les mères
Les mères ont senti tressaillir leurs entrailles.
Les lourds caissons chargés de boîtes à mitrailles
Courent, et l’on dirait qu’ils bondissent joyeux. … Continuer la lecture

XXXVII J’ai vu
J’ai vu pendant trois jours de haine et de remords
L’eau refléter des feux et charrier des morts
Dans une grande et noble ville. … Continuer la lecture …

XXXVIII Écrit au bas d’un portrait de Madame la Duchesse d’Orléans
Quand cette noble femme eut touché la frontière,
Proscrite et fugitive, hélas! mais reine encor,
Emportant son grand coeur, sa tristesse humble et fière, … Continuer la lecture

XXXIX Viro Major
Ayant vu le massacre immense, le combat,
Le peuple sur sa croix, Paris sur son grabat,
La pitié formidable était dans tes paroles; … Continuer la lecture

XL Ô Georges
Ô Georges, tu seras un homme. -Tu sauras
A qui tu dois ton coeur, à qui tu dois ton bras,
Ce que ta voix doit dire au peuple, à l’homme, au monde; … Continuer la lecture

La Corde d’airain

À la France de 1872
Ô France, un ,de tes fils devant toi s’agenouille.
L’humble prêtre de l’art divin que rien ne souille
T’apporte sa tristesse et son austère amour. … Continuer la lecture

I Apres Sedan
C’est bien. Essuyez-vous. France; Prusse, lavez
Toi, ton opprobre; toi, ta gloire. Vous avez
Chacune une rougeur au front; la honte épaisse … Continuer la lecture

II À des régiments découragés
Ô nos pauvres soldats, oui, vous avez fléchi.
Avant que ce Paris sacré soit affranchi,
Avant que notre France auguste soit sauvée, … Continuer la lecture

III Destruction de la colonne
ACCEPTATION DU TRAITE PRUSSIEN
Quand la géante fut tombée, on approcha.
Si quelque bey d’Égypte, un khédive, un pacha, … Continuer la lecture

IV La grande République
La grande République a des griffes fatales.
Gare à ceux qui voudraient, sans être les vrais mâles,
Sans être les époux réels et sérieux, … Continuer la lecture

V Après l’écroulement de l’homme
Pour venger le passé, pour sauver l’avenir,
O peuple, j’ai senti que je devais punir
Un homme, et qu’il fallait châtier une tête; … Continuer la lecture

VI L’orgie des meurtres
Ah çà, je. mets les points sur les i. Soit. J’admets
La guerre, à la rigueur; l’assassinat, jamais.
Avouez qu’il serait étrange que j’aimasse … Continuer la lecture

VII Oui, l’on a sauvé l’ordre et l’état
Oui, l’on a sauvé l’ordre et l’état, et je crois
Que c’est pour la cinquième ou’la sixième fois;
Le steamer pourvoyeur du bagne est dans nos havres; … Continuer la lecture

VIII En Belgique
En Belgique (et peut-être, hélas! ailleurs encor!)
La justice, le droit, la loi, c’est un décor;
Pour le peuple il en sort un bras armé d’un glaive; … Continuer la lecture

IX À un roi de troisième ordre
Roi, tu m’as expulsé, me dit-on. Peu m’importe.
De plus, un acarus, dans un journal cloporte,
M’outrage de ta part et de la part du ciel; … Continuer la lecture

X Alsace et Lorraine
Ô le rêve insensé que font ces misérables!
De qui parlez-vous là? Des rois. Jours exécrables!
Jours que de noirs essaims d’Euménides suivront! … Continuer la lecture

XI La libération du territoire
Je ne me trouve pas délivré. Non, j’ai-beau
Me dresser, je me heurte au plafond du, tombeau,
J’étouffe, j’ai sur moi l’énormité terrible. … Continuer la lecture

XII Le lionceau songeait
 il était tout petit,
Caché muet, pareil au chat qui se blottit,
Loin du soleil, dans l’ombre où les rayons s’émoussent. … Continuer la lecture

XIII Ô royauté!
Ô royauté! tàs d’ombre! amas d’horreur, d’effroi;
De crime, formidable au peuple, puis au roi,
Aveuglant les yeux qui le voient, … Continuer la lecture

XIV Quoi donc!
Quoi donc! avoir pour but cette lâcheté, plaire!
Se donner cet emploi noble, auguste, exemplaire,
La flatterie! avoir pour maîtres les passants! … Continuer la lecture

XV Un grand sabre
Un grand sabre serait d’utilité publique:
Est-ce qu’il n’est pas temps d’exterminer la clique
Des songeurs, des rêveurs, des penseurs, des savants, … Continuer la lecture

XVI Aux historiens
Soyez juges. Soyez apôtres. Soyez prêtres.
Dites le vrai. Surtout n’expliquez pas les traîtres!
Car l’explication finit-par ressembler … Continuer la lecture

XVII Victoires et conquètes de la religion
Garaste a triomphé de l’encyclopédie.
Tartufe est grand. L’église avait la maladie;
Elle est en traitement chez le docteur Véron. … Continuer la lecture

XVIII Ô sombre femme
Ô sombre femme, un jour, n’ayant plus de royaume,
Spectre, tu paraîtras devant le grand fantôme;
Et lui, l’être idéal, le seul. être vivant, … Continuer la lecture

XIX La question sociale
 Non, non, non. Ce n’est point par la ruse, vous dis-je,
Que vous aurez raison du gouffre et du prodige;
Les ouragans ne sont en rien déconcertés … Continuer la lecture

XX Crois-tu donc qu’on sera César sans l’expier
Crois-tu donc qu’on sera César sans l’expier?
Qui donc t’a dit qu’on puisse être, sans récompense,
Epictète qui saigne en même temps qu’il pense? … Continuer la lecture

XXI Jeunes hommes
Jeunes hommes éclos sous l’empire rapace,
Frais, roses et glacés, vous dites quand je passe:
« -Ah çà! qu’est-ce que c’est que cet homme? il est fou. … Continuer la lecture …

XXII Rentrée dans la solitude
Ô ses amis d’hier, pas d’aujourd’hui, qu’il trouve
La prudence pour vous bonne, et qu’il vous approuve,
Cela doit vous suffire. Il dit: Reniez-moi, … Continuer la lecture

XXIII Ô princes insensés!
Ô princes insensés! quoi! ne tremblent-ils pas
D’ouvrir la porte eux-même aux colères d’en bas!
De donner quelque chose à briser à la foule! … Continuer la lecture

XXIV Le poète prend la parole
 J’ai pour muse, en ce monde où souffle un vent terrible
Sur l’homme et le destin, sur la graine et le crible, … Continuer la lecture

XXV Grande oreilles
C’est un bel attribut, la longueur de l’oreille.
L’oreille longue, au-fond de l’ombre, oscille, veille,
Songe, se couche à plat, se dresse tout debout, … Continuer la lecture

XXVI À de certains moments
 À de certains moments, l’homme juste est risible.
Tous les archers moqueurs prennent l’honneur pour cible;
Les choses et les mots changent de sens; on est … Continuer la lecture

XXVII À vous tous
 Je ne vous cache pas que je pense à nos pères.
Durs au tigre,, ils mettaient le pied sur les vipères;
Ils affrontaient la griffe, ils bravaient les venins, … Continuer la lecture



La tour des rats de Victor Hugo - 1847
La tour des rats de Victor Hugo – 1847


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