Lisez le poème “Une tempête” d’Emily Dickinson en anglais et en français côte à côte

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Je ne sais pas pourquoi, mais le mot tempête me fait toujours penser à la mer, alors aujourd’hui j’ai inclus le tableau “Vent fort” peint par le peintre Russe Ivan Aivazovsky en 1856.

A tempestUne tempête
Traduit par Akirill.com

Vent fort d’Ivan Aivazovsky – 1856

Strong Wind by Ivan Aivazovsky - 1856 Vent fort d'Ivan Aivazovsky - 1856
An awful tempest mashed the air,Une terrible tempête a écrasé l’air,
The clouds were gaunt and few;Les nuages ​​étaient décharnés et peu nombreux;
A black, as of a spectre’s cloak,Un noir, comme un manteau d’un spectre,
Hid heaven and earth from view.Caché le ciel et la terre du regard.
The creatures chuckled on the roofsLes créatures riaient sur les toits
And whistled in the air,Et sifflaient dans l’air,
And shook their fists and gnashed their teeth.Et agitaient leurs poings et grinçaient des dents.
And swung their frenzied hair.Et balançaient leurs cheveux frénétiques.
The morning lit, the birds arose;Le matin s’illumina, les oiseaux se levèrent ;
The monster’s faded eyesLes yeux fanés du monstre
Turned slowly to his native coast,Tourné lentement vers sa côte natale,
And peace was Paradise!Et la paix était le Paradis !

J’espère que vous avez apprécié ce poème autant que moi.

Si vous voulez plus de poèmes de cet auteur, vous pouvez visiter sa page. Les poèmes sont en anglais.

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Read the poem “A Tempest” by Emily Dickinson in English and French side by side

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I do not know why, but the word tempest always make me think of the sea, so today I included the painting “Strong Wind” painted by the Russian painter Ivan Aivazovsky in 1856.

A tempestUne tempête
Traduit par Akirill.com

Strong Wind by Ivan Aivazovsky – 1856

Strong Wind by Ivan Aivazovsky - 1856
An awful tempest mashed the air,Une terrible tempête a écrasé l’air,
The clouds were gaunt and few;Les nuages ​​étaient décharnés et peu nombreux;
A black, as of a spectre’s cloak,Un noir, comme un manteau d’un spectre,
Hid heaven and earth from view.Caché le ciel et la terre du regard.
The creatures chuckled on the roofsLes créatures riaient sur les toits
And whistled in the air,Et sifflaient dans l’air,
And shook their fists and gnashed their teeth.Et agitaient leurs poings et grinçaient des dents.
And swung their frenzied hair.Et balançaient leurs cheveux frénétiques.
The morning lit, the birds arose;Le matin s’illumina, les oiseaux se levèrent ;
The monster’s faded eyesLes yeux fanés du monstre
Turned slowly to his native coast,Tourné lentement vers sa côte natale,
And peace was Paradise!Et la paix était le Paradis !

I hope you enjoyed this poem as much as I did.

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Lisez « La Route Non Empruntée » de Robert Frost, en anglais et en français côte à côte

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Robert Lee Frost (26 mars 1874 – 29 janvier 1963) était un poète américain connu pour ses représentations réalistes de la vie rurale qu’il utilisait pour examiner des thèmes sociaux et philosophiques complexes. Fréquemment honoré de son vivant, il est le seul poète à avoir reçu quatre prix Pulitzer de poésie.

The Road Not TakenLa Route Non Empruntée
by Robert Frostpar Robert Frost
Two roads diverged in a yellow wood,Deux routes divergeaient dans un bois jaune,
And sorry I could not travel bothEt désolé de ne pas pouvoir prendre les deux
And be one traveler, long I stoodEt de n’être qu’un voyageur, je me suis longtemps arresté
And looked down one as far as I couldEt en ai suivis une du regard aussi loin que je le pus
To where it bent in the undergrowth;Jusqu’à l’endroit où elle tournait dans les sous-bois ;
Then took the other, as just as fair,Puis je pris l’autre, tout aussi magnifique,
And having perhaps the better claim,Et ayant peut-être l’avantage,
Because it was grassy and wanted wear;D’une herbe qu’on pouvait fouler;
Though as for that the passing thereBien que pour cela les passages
Had worn them really about the same,Les avait vraiment usé de façon identique,
And both that morning equally layEt les deux ce matin-là gisaient également
In leaves no step had trodden black.Sous des feuilles, qu’aucun pas n’avait noircies.
Oh, I kept the first for another day!Oh, j’ai gardé la première pour un autre jour !
Yet knowing how way leads on to way,Pourtant, sachant comme un chemin nous mène à l’autre,
I doubted if I should ever come back.Je doutais d’y revenir un jour.
I shall be telling this with a sighJe devrais dire cela avec un soupir
Somewhere ages and ages hence:Donc quelque part depuis des siècles et des siècles:
Two roads diverged in a wood, and I—Deux routes divergeaient dans un bois, et je—
I took the one less traveled by,J’ai pris celle qui était le moins fréquentée,
And that has made all the difference.Et cela a fait toute la différence.

J’espère que vous avez apprécié ce poème autant que moi.

Vous pouvez également lire : « Mending Wall » de Robert Frost, anglais et français côte à côte avec analyse

Ou jetez un oeil à notre page de poésie américaine

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Read “The Road Not Taken” by Robert Frost , English and French side by side

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Robert Lee Frost (March 26, 1874 – January 29, 1963) was an American poet known for his realistic depictions of rural life which he used to examine complex social and philosophical themes. Frequently honored during his lifetime, he is the only poet to receive four Pulitzer Prizes for Poetry.

The Road Not TakenLa Route Non Empruntée
by Robert Frostpar Robert Frost
Two roads diverged in a yellow wood,Deux routes divergeaient dans un bois jaune,
And sorry I could not travel bothEt désolé de ne pas pouvoir prendre les deux
And be one traveler, long I stoodEt de n’être qu’un voyageur, je me suis longtemps arresté
And looked down one as far as I couldEt en ai suivis une du regard aussi loin que je le pus
To where it bent in the undergrowth;Jusqu’à l’endroit où elle tournait dans les sous-bois ;
Then took the other, as just as fair,Puis je pris l’autre, tout aussi magnifique,
And having perhaps the better claim,Et ayant peut-être l’avantage,
Because it was grassy and wanted wear;D’une herbe qu’on pouvait fouler;
Though as for that the passing thereBien que pour cela les passages
Had worn them really about the same,Les avait vraiment usé de façon identique,
And both that morning equally layEt les deux ce matin-là gisaient également
In leaves no step had trodden black.Sous des feuilles, qu’aucun pas n’avait noircies.
Oh, I kept the first for another day!Oh, j’ai gardé la première pour un autre jour !
Yet knowing how way leads on to way,Pourtant, sachant comme un chemin nous mène à l’autre,
I doubted if I should ever come back.Je doutais d’y revenir un jour.
I shall be telling this with a sighJe devrais dire cela avec un soupir
Somewhere ages and ages hence:Donc quelque part depuis des siècles et des siècles:
Two roads diverged in a wood, and I—Deux routes divergeaient dans un bois, et je—
I took the one less traveled by,J’ai pris celle qui était le moins fréquentée,
And that has made all the difference.Et cela a fait toute la différence.

I hope you enjoyed this poem as much as I did.

You can also read: “Mending Wall” by Robert Frost, English and French side by side with analysis

Or have a look at our page of American Poetry

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« Mending Wall » de Robert Frost, anglais et français côte à côte avec analyse.

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Robert Frost a écrit l’un de ses poèmes les plus populaires : “Mending Wall” en 1914. J’ai décidé de le traduire et, comme toujours, de mettre les deux poèmes côte à côte.

Une brève analyse

“Mending Wall” est un poème sur deux voisins qui se réunissent pour réparer le mur entre leurs propriétés.

On voit que l’orateur du poème n’est pas très sérieux à ce sujet. Il plaisante et n’est pas convaincu de la nécessité d’avoir un mur séparant leurs propriétés.

Lorsqu’il interroge son voisin sur la nécessité d’une clôture, celui-ci répond toujours un vieux dicton que son père lui a enseignée : les bonnes clôtures font les bons voisins.

Une interprétation simple de ce dicton serait que des frontières claires entre nous et les autres conduisent à des relations saines entre les gens.

Le poème «Mending Wall» met en contraste les deux approches différentes de la vie et des relations humaines. En même temps, il est rempli du regret de ce qui aurait pu être s’il n’y avait pas eu de mur entre lui et son voisin.

rock wall
rock wall
Mending Wall
By Robert Frost
Réparation du mur
de Robert Frost
Something there is that doesn’t love a wall,Il y a quelque chose ici qui n’aime pas un mur,
That sends the frozen-ground-swell under it,Cela envoie la houle gelée en dessous,
And spills the upper boulders in the sun;Et renverse les rochers supérieurs au soleil;
And makes gaps even two can pass abreast.Et fait des trous ou même à deux, ils peuvent passer de front.
The work of hunters is another thing:Le travail des chasseurs est une autre chose :
I have come after them and made repairJe suis venu après eux et j’ai réparé
Where they have left not one stone on a stone,Où ils n’ont pas laissé une pierre sur une autre,
But they would have the rabbit out of hiding,Mais ils auraient fait sortir le lapin de sa cachette,
To please the yelping dogs. The gaps I mean,Pour plaire aux chiens qui jappent. 
Les trous je veux dire,
No one has seen them made or heard them made,Personne ne les a vus ou entendu faire,
But at spring mending-time we find them there.Mais au moment du raccommodage de printemps, nous les y retrouvons.
I let my neighbor know beyond the hill;J’ai prévenu mon voisin au-delà de la colline;
And on a day we meet to walk the lineEt un jour nous nous rencontrons pour marcher le long de la ligne
And set the wall between us once again.Et remettre le mur entre nous une fois de plus.
We keep the wall between us as we go.Nous gardons le mur entre nous au fur et à mesure.
To each the boulders that have fallen to each.À chacun des rochers qui sont tombés pour chacun.
And some are loaves and some so nearly ballsEt certains sont des pains et d’autres presque des balles
We have to use a spell to make them balance:Nous devons utiliser un sort pour les équilibrer :
‘Stay where you are until our backs are turned!’‘Restez où vous êtes jusqu’à ce que nous ayons le dos tourné !’
We wear our fingers rough with handling them.Nous rendons nos doigts rugueux en les manipulant.
Oh, just another kind of out-door game,Oh, juste un autre genre de jeu en plein air,
One on a side. It comes to little more:Un sur un côté. Il bouge un peu plus :
There where it is we do not need the wall:Là où il est nous n’avons pas besoin du mur :
He is all pine and I am apple orchard.Il est tout pin et je suis verger de pommiers.
My apple trees will never get acrossMes pommiers ne passent jamais de l’autre côté
And eat the cones under his pines, I tell him.Et mangent les cônes sous ses pins, lui dis-je.
He only says, ‘Good fences make good neighbors.’Il dit seulement : « Les bonnes clôtures font les bons voisins.
Spring is the mischief in me, and I wonderLe printemps est l’espièglerie en moi, et je me demande
If I could put a notion in his head:Si je pourrais mettre une idée dans sa tête :
‘Why do they make good neighbors? Isn’t it« Pourquoi  font-elles de bons voisins ? 
Where there are cows? But here there are no cows.Où y a-t-il des vaches ? Mais ici, il n’y a pas de vaches.
Before I built a wall I’d ask to knowAvant de construire un mur, je demanderais à savoir
What I was walling in or walling out,Ce que je murais dedans ou en dehors,
And to whom I was like to give offense.Et à qui j’allais donné offense.
Something there is that doesn’t love a wall,Il y a quelque chose ici qui n’aime pas un mur,
That wants it down.’ I could say ‘Elves’ to him,Qui le veut démoli. Je pourrais lui dire ‘Elfes’,
But it’s not elves exactly, and I’d ratherMais ce ne sont pas exactement des elfes, et je préfère
He said it for himself. I see him thereIl l’a dit pour lui-même. je le vois là
Bringing a stone grasped firmly by the topApporter une pierre fermement saisie par le haut
In each hand, like an old-stone savage armed.Dans chaque main, comme un sauvage armé de vieille pierre.
He moves in darkness as it seems to me,Il se déplace dans les ténèbres comme il me semble,
Not of woods only and the shade of trees.Pas de bois uniquement et l’ombre des arbres.
He will not go behind his father’s saying,Il n’ira pas derrière les paroles de son père,
And he likes having thought of it so wellEt il aime y avoir si bien pensé
He says again, ‘Good fences make good neighbors.’Il répète encore: « Les bonnes clôtures font les bons voisins.

J’espère que vous avez apprécié ce poème autant que moi.

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“Mending Wall” by Robert Frost, English and French side by side with analysis.

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Robert Frost wrote one of his most popular poem: “Mending Wall” in 1914. I decided to translate it and as always put both poems side by side.

A Short Analysis

“Mending Wall” is a poem about two neighbors coming together to fix the wall between their properties.

We can see that the poem’s speaker is not very serious about it. He jokes about it and is not convinced of the need of having a wall separating their properties.

When he asks his neighbor about the need of a fence, this one always answers an old piece of wisdom that his father taught him: Good fences make good neighbors.

A simple interpretation of this piece of wisdom would be that clear boundaries between ourselves and others leads to healthy relationships beween people.

The poem “Mending Wall” contraste the two different approaches to life and human relationship. At the same time it is filled with the regret of what might have been if there was no wall between him and his neighbor.

rock wall
rock wall
Mending Wall
By Robert Frost
Réparation du mur
de Robert Frost
Something there is that doesn’t love a wall,Il y a quelque chose ici qui n’aime pas un mur,
That sends the frozen-ground-swell under it,Cela envoie la houle gelée en dessous,
And spills the upper boulders in the sun;Et renverse les rochers supérieurs au soleil;
And makes gaps even two can pass abreast.Et fait des trous ou même à deux, ils peuvent passer de front.
The work of hunters is another thing:Le travail des chasseurs est une autre chose :
I have come after them and made repairJe suis venu après eux et j’ai réparé
Where they have left not one stone on a stone,Où ils n’ont pas laissé une pierre sur une autre,
But they would have the rabbit out of hiding,Mais ils auraient fait sortir le lapin de sa cachette,
To please the yelping dogs. The gaps I mean,Pour plaire aux chiens qui jappent. 
Les trous je veux dire,
No one has seen them made or heard them made,Personne ne les a vus ou entendu faire,
But at spring mending-time we find them there.Mais au moment du raccommodage de printemps, nous les y retrouvons.
I let my neighbor know beyond the hill;J’ai prévenu mon voisin au-delà de la colline;
And on a day we meet to walk the lineEt un jour nous nous rencontrons pour marcher le long de la ligne
And set the wall between us once again.Et remettre le mur entre nous une fois de plus.
We keep the wall between us as we go.Nous gardons le mur entre nous au fur et à mesure.
To each the boulders that have fallen to each.À chacun des rochers qui sont tombés pour chacun.
And some are loaves and some so nearly ballsEt certains sont des pains et d’autres presque des balles
We have to use a spell to make them balance:Nous devons utiliser un sort pour les équilibrer :
‘Stay where you are until our backs are turned!’‘Restez où vous êtes jusqu’à ce que nous ayons le dos tourné !’
We wear our fingers rough with handling them.Nous rendons nos doigts rugueux en les manipulant.
Oh, just another kind of out-door game,Oh, juste un autre genre de jeu en plein air,
One on a side. It comes to little more:Un sur un côté. Il bouge un peu plus :
There where it is we do not need the wall:Là où il est nous n’avons pas besoin du mur :
He is all pine and I am apple orchard.Il est tout pin et je suis verger de pommiers.
My apple trees will never get acrossMes pommiers ne passent jamais de l’autre côté
And eat the cones under his pines, I tell him.Et mangent les cônes sous ses pins, lui dis-je.
He only says, ‘Good fences make good neighbors.’Il dit seulement : « Les bonnes clôtures font les bons voisins.
Spring is the mischief in me, and I wonderLe printemps est l’espièglerie en moi, et je me demande
If I could put a notion in his head:Si je pourrais mettre une idée dans sa tête :
‘Why do they make good neighbors? Isn’t it« Pourquoi  font-elles de bons voisins ? 
Where there are cows? But here there are no cows.Où y a-t-il des vaches ? Mais ici, il n’y a pas de vaches.
Before I built a wall I’d ask to knowAvant de construire un mur, je demanderais à savoir
What I was walling in or walling out,Ce que je murais dedans ou en dehors,
And to whom I was like to give offense.Et à qui j’allais donné offense.
Something there is that doesn’t love a wall,Il y a quelque chose ici qui n’aime pas un mur,
That wants it down.’ I could say ‘Elves’ to him,Qui le veut démoli. Je pourrais lui dire ‘Elfes’,
But it’s not elves exactly, and I’d ratherMais ce ne sont pas exactement des elfes, et je préfère
He said it for himself. I see him thereIl l’a dit pour lui-même. je le vois là
Bringing a stone grasped firmly by the topApporter une pierre fermement saisie par le haut
In each hand, like an old-stone savage armed.Dans chaque main, comme un sauvage armé de vieille pierre.
He moves in darkness as it seems to me,Il se déplace dans les ténèbres comme il me semble,
Not of woods only and the shade of trees.Pas de bois uniquement et l’ombre des arbres.
He will not go behind his father’s saying,Il n’ira pas derrière les paroles de son père,
And he likes having thought of it so wellEt il aime y avoir si bien pensé
He says again, ‘Good fences make good neighbors.’Il répète encore: « Les bonnes clôtures font les bons voisins.

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Courte biographie de Jack London

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 Jack London né le 12 janvier 1876 à San Francisco en Californie était un romancier américain, et un journaliste surtout connu pour les romans “Croc Blanc” et “L’Appel de la Nature”. Il a été l’un des premiers auteurs américains à devenir une célébrité internationale et à gagner une grande fortune grâce à l’écriture.

Jack London

Jack London était le fils de Flora Wellman et de William Chaney. Il s’appelait John Griffith Chaney, même si ses parents n’étaient pas mariés et que son père n’a jamais fait partie de sa vie. Il a été envoyé pour allaitement chez une voisine qui était une femme afro-américaine anciennement asservie nommée Jennie Prentiss après que sa mère ait tenté de se suicider parce que son père avait exigé qu’elle se fasse avorter. En 1876, sa mère a épousé John London qui était un vétéran de la guerre civile et il a pris le nom de son beau-père. La famille a déménagé plusieurs fois et la famille Prentiss a déménagé avec eux et a continué à s’occuper du jeune Jack.

Il a construit sa propre vie adolescent, et à l’âge de 14 ans, il a quitté l’école et a commencé à travailler. Il a pris des trains, piraté des huîtres avec le sloop acheté avec de l’argent emprunté à sa mère adoptive Virginia Prentiss, puis a travaillé pour la patrouille gouvernementale des pêches, pelleté du charbon, travaillé sur des navires. Pendant tout ce temps, il se rendait le plus souvent possible à la bibliothèque pour lire des romans et des livres de voyage.

Après ses nombreuses expériences en tant que clochard et marin, il est retourné à Oakland et a fréquenté le lycée d’Oakland. Il a souvent étudié au Heinold’s First and Last Chance Saloon et le propriétaire John Heinold lui a permis d’aller à l’Université de Californie en lui prêtant l’argent des frais de scolarité.

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En raison de problèmes financiers, il n’a jamais terminé ses études universitaires et en 1897, il a navigué avec le mari de sa sœur pour rejoindre la ruée vers l’or du Klondike. Là, il était tellement mal nourri qu’il a développé le scorbut mais c’était aussi le décor de certaines de ses premières histoires à succès.

En 1898, après son retour en Californie, il commença à travailler pour être publié. Il était sur le point d’abandonner lorsque son histoire “Mille Morts” a été acceptée par le Black Cat (chat noir). C’est au cours de cette période que les nouvelles technologies d’impression ont commencé à permettre la production à moindre coût de magazines entraînant un boom des magazines populaires et ouvrant la voie à la publication de fictions courtes destinées à un large public.

En 1900, il commença à gagner beaucoup d’argent en vendant ses histoires et épousa Elizabeth Mae Maddern, le jour de la publication de son roman “Le Fils du loup” le 7 avril 1900. Tous deux ont reconnu qu’ils ne se mariaient pas par amour, mais par amitié et par conviction qu’ils produiraient des enfants robustes. Ils ont eu 2 enfants, tous deux nés à Piedmont, en Californie, où il a écrit l’une de ses œuvres les plus célèbres ; “L’Appel de la Nature”. Joan son premier enfant est née le 15 janvier 1901 et Bessie est née le 20 octobre 1902. Malheureusement, ils ont divorcé le 11 novembre 1904.

Le succès de ce livre n’a pas arrêté les dures habitudes d’écriture de London et il a publié plus de 50 livres au cours des 16 dernières années de sa vie. Ses romans les plus célèbres sont : « L’Appel de la Nature », « Croc Blanc », « Le Loup de Mer », « Le Talon de Fer » et « Martin Eden », mais il y en a bien d’autres. De 1902 à 1916, il écrit un à deux romans par an mais aussi des nouvelles, des mémoires autobiographiques, des non-fiction et des essais, des pièces de théâtre et de la poésie,

Du 25 janvier à juin 1904, il couvrit la guerre russo-japonaise et fut arrêté 4 fois par les autorités japonaises au cours de sa courte période de travail comme correspondant de guerre. Puis en 1905 il épousa Charmian Kittredge avec qui il fit de nombreux voyages à Hawaii, Australie, Nevada….

Jack and Charmian London (c. 1915) at Waikiki Londons_surfing_in_hawaii

Pendant une grande partie de la dernière décennie de sa vie, London a eu des problèmes de santé, notamment une maladie rénale qui a fini par lui coûter la vie le 22 novembre 1916.

Vous pouvez lire les livres suivants sur notre site :

In French
In English
Avant Adam
Croc-Blanc
L’appel de la forêt
The Call of the Wild
Martin Eden part 1
Martin Eden part 2
The Sea-Wolf
White Fang

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Jack London short biography

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 Jack London born on January 12, 1876 in San Francisco, California was an American novelist, journalist best known for the novels “White Fang” and “The Call of the Wild”. He was one of the first American authors to become an international celebrity and earn a large fortune from writing.

Jack London

Jack London was the son of Flora Wellman and William Chaney. His name was John Griffith Chaney, even though his parents weren’t married and his father was never part of his life. He was sent for wet-nursing to a neighbor who was an formerly enslaved African American Woman named Jennie Prentiss after his mother tried to kill herself because his father demanded that she had an abortion. In 1876 his mother married john London who was a civil war veteran and he took his father in law name. The family moved several time and the Prentiss family moved with them and continued to take care of the young Jack.

He built his own life as a teen, and at the age 14 he quit school and began working. He rode trains, pirated oysters with the sloop bought with borrowed money from his foster mother Virginia Prentiss, then worked for the government fish patrol, shoveled coal, worked on ships. All this while he went to the library as often as possible to read novels and travel books.

After his many experiences as a hobo and sailor, he returned to Oakland and attended the Oakland High School. He often studied at the Heinold’s First and Last Chance Saloon and the owner John Heinold allowed him to go to the University of California by lending him the tuition money.

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Due to financial problem he never finished the University and in 1897 he sailed with his sister’s husband to join the Klondike gold rush. There he was so malnourished that he developed scurvy but it was also the setting for some of his first successful stories.

In 1898 after returning to California he began working to get published. He was closed to giving up when his story “A Thousand Deaths” was accepted by the Black Cat. It was during that period that new printing technologies began to enable lower-cost production of magazines resulting in a boom in popular magazines and opening the way for short fiction publication aimed at a wide public audience.

In 1900, he began making good money selling his stories and married Elizabeth Mae Maddern, the day of the publication of his novel “The Son of the Wolf” on April 7, 1900. Both of them acknowledged that they were not marrying out of love, but from friendship and a belief that they would produce sturdy children. They had 2 children, both born in Piedmont, California where he wrote one of his most famous work; “The Call of the Wild”. Joan his first child was born on January 15, 1901 and Bessie was born on October 20, 1902. Sadly they divorced on November 11, 1904.

The success of this book didn’t stop London’s hard writing habits and he published more than 50 books over the last 16 years of his life. His most famous novels are: “The Call of the Wild”, “White Fang”, “The Sea-Wolf”, “The Iron Heel”, and “Martin Eden” but there are many others. From 1902 to 1916 he wrote one to two novels a year but also short stories, autobiographical memoirs, non-fiction and essays, plays, and poetry,

From January 25 to June 1904 he covered the Russo-Japanese War and was arrested 4 times by the Japanese authority during his short period of work as a war correspondent. Then in 1905 he married Charmian Kittredge with who he went in numerous trips to Hawai, Australia, Nevada ….

Jack and Charmian London (c. 1915) at Waikiki Londons_surfing_in_hawaii

For much of the last decade of his life, London had some health problem including a kidney disease which ended up taking his life on November 22, 1916

You can read the following books on our sites:

In French
In English
Avant Adam
Croc-Blanc
L’appel de la forêt
The Call of the Wild
Martin Eden part 1
Martin Eden part 2
The Sea-Wolf
White Fang

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